Chalom Rav.
J'ai appris qu'il y a des jours durant lesquels certaines communautés juives commémorent des faits historiques où les membres de ces communautés ont été sauvés d'un épisode qui auraient pu être tragiques pour eux.
Ainsi, dans certaines communautés, on célèbre des jours comme le « Pourim de Francfort », « Pourim de Carpentras » ou encore le « Pourim de Tibériade ».
Aussi, j'ai récemment appris qu'il y a des communautés, le jour de leur(s) commémoration(s) respective(s), qui récitent également le Hallel complet.
J'ai d'ailleurs trouvé des articles intéressants à ce sujet ; en voici un à titre d'exemple :
https://www.hamichlol.org.il/פורים_שני
Cependant, d'après ce que j'ai appris, il y a une divergence d'opinion quant au fait d'instaurer un jour où l'on récite le Hallel (et où l'on ne récite pas les Ta'hanounim aussi ?), alors que l'on est plus à l'époque du Sanhédrin ou des 'Hazal qui avaient encore la force d'instaurer des jours de Hallel, comme pour 'Hanouka par exemple, et ce, sachant que même pour Pourim (celui du 14 et 15 Adar), on ne récite pas du tout le Hallel, et que même pour instaurer des jours de fêtes comme 'Hanouka et Pourim, cela n'était pas si évident que ça, même pour les 'Hazal.
J'ai également appris une affirmation disant qu'il est obligatoire pour une communauté d'instaurer un jour de joie et de fête (et de Hallel ?) lorsqu'un miracle leur est arrivé et avec quoi ils ont été sauvés, et qu'il ne faut pas se montrer ingrat envers Hachem qui leur a octroyé ce miracle.
Ma question est : est-ce vrai qu'il existe une telle divergence d'opinion (concernant le fait de réciter le Hallel, ou pas) et une telle affirmation (obligation de faire un jour de fête et donc de Hallel) ?
Merci d'avance pour votre réponse.
Kol Touv.