A Ronydenyro :
Pour la brah’a c’est très discuté.
La bra’ha Al tvilat Yadaïm est la conclusion du
Mishna Broura –il me semble- pour quelqu’un qui tremperait ses mains dans la mer (ou dans tout autre eau qui n’est pas souhaitable pour la netila , car salée etc…).
C’est plutôt certains sfaradim (mais pas tous) qui refusent ce nossa’h (voir
Kaf A’haim, probablement dans
§159).
Le
Baal Atania (§159, 24) lui, retient « Al Shtifat Yadaïm ».
Si vous disposez du temps qu’il me manque, je vous conseille la lecture du
Divrei Mena’hem de l’époustouflant
Rabbi Mena’hem Kasher, le tout premier siman du premier tome, qui parle des nos’haot Netilat/re’hitsat/nekiout/tvilat/shtifat Yadaïm.
Quant à votre question :
Citation:
Pourquoi est ce bediavad de tremper ses mains dans la rivière plutôt que dutiliser un keli?
Ne serait-ce que pour éviter l’ambiguité du nossa’h de la bra’ha, ça vaudrait déjà le coup d’utiliser un kli si on en a un.