Diverses références (Berèchith 4, 20 et suivants ; Meguila 32a) nous incitent à penser que la Tora considère la musique avec faveur.
Cependant, la destruction du deuxième Temple a eu pour conséquence que les rabbins ont interdit de chanter dans les débits de boissons (Sota 48a).
Dans la pratique, il ne semble pas y avoir de différence d’appréciation selon qu’il s’agit d’une musique juive ou non juive. Certains décisionnaires opèrent une distinction entre la musique enregistrée, qu’ils permettent, et la musique écoutée « en direct », contre laquelle ils émettent des réserves. D’autres, comme rav Yossef Dov Soloveitchik, considèrent que la musique classique, de toutes manières, n’est pas sujette à interdiction.
Il ressort de mes recherches que ce qui importe essentiellement, c’est de s’astreindre à veiller à ce que la musique que nous écoutons soit en harmonie avec un style de vie authentiquement juif, ce qui n’est certainement pas le cas chez certains chanteurs modernes.
Cette appréciation ne concerne pas seulement, il est vrai, la musique, mais l’ensemble de nos activités de loisirs.
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