Les meilleures prières sont celles qui sont motivées et ressenties par le cœur. Le bon D.. comprend le français et il ne faut pas se gêner de s'adresser directement à Lui dans le langage qui nous vient.
Les Anshei Knesset Agdola ont fixé une version de la prière car de nombreuses personnes n'auraient pas prié convenablement si on ne leur avait pas indiqué quoi dire, mais c'est pour la prière fixe 3 fois par jour. Pour le reste, à chacun de trouver les bons mots en hébreu s'il y est à l'aise, sinon dans sa langue.
Je ne pense pas qu'il faille rechercher un texte de prière rédigé "prêt à l'emploi" en imaginant qu'il sera plus efficace que les mots sincères d'un père ou d'une mère dont l'enfant est malade.
Et je ne vois pas quelle prière peut être plus écoutée que celle des parents de cet enfant, même si la coutume depuis toujours est de ne pas négliger l'apport parallèle de la prière d'un Talmid 'ha'ham qui enseigne dans une yeshiva –comme l'écrivait déjà le Nimoukei Yossef (Baba Bathra 53a selon les pages du Rif) que "la coutume en France (qui était -fut un temps- le centre mondial de l'étude de la Thora) est que toute personne qui a un malade dans sa maison, recherche à rencontrer un rav qui a une yeshiva pour qu'il le bénisse" (qu'il bénisse le malade).
Donc je vous conseillerais de prier selon votre inspiration et de demander à un érudit en Talmud de prier aussi pour l'enfant.
Refoua shléma.
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