Perruque au travail

Kvod haRav,
Mon épouse porte uniquement le foulard, car nous suivons Rav Ovadia Yossef chlita, dans ce domaine et dans la vie en général.

On vient de lui proposer un poste dans une école 'Habad, et nous ne sommes pas sûrs qu'ils soient d'accord pour qu'elle porte le foulard à l'école.

Ce poste s'avère être une occasion pour elle, tant au niveau professionnel que financier.

Y aurait-il une autorisation à porter la perruque ?
Y aurait-il cette autorisation uniquement dans le cas où l'école accepterait de la prendre UNIQUEMENT si elle porte la perruque ?

Quoi qu'il en soit, lors de son entretien elle montrera que a priori cela la dérangerait, mais s'ils en font une condition sine qua non ?

Enfin, je précise qu'elle aurait une classe de filles, et que les seuls moments où elle serait amenée à voir des hommes serait avant ou après la classe (parents).

Si vous avez besoin de plus de détails, je reste à votre disposition.

Cordial Chalom

Chalom

Il me semble que, si en dehors de l'école elle peut être en foulard ou chapeau ou autre et que ceci ne représente pas un problème pour l'école, ce n'est pas dérangant compte tenu des raisons que vous avancez, et qu'au travail elle se trouve uniquement avec des filles.

Les seules autres personnes qui risquent d'être en contact avec elle sont les directeurs de l'école et autres. Eux sont habitués à voir des femmes en perruque et c'est eux qui le souhaitent. S'il y a un problème de Lifné ivèr c'est eux qui en sont responsables et pas votre épouse. En dehors du fait que de nombreux décisionnaires autorisent le port de la perrruque si elle est décente.

Ceci étant, il faut demander à votre épouse son avis vu que c'est possible que ceci la dérange et qu'elle ne souhaite pas ébranler ne serait-ce qu'un peu sa Tsinout.

Béhatslaha !

Chalom,
Sur ce sujet j'ai entendu qu'il existait une permission de Rav Ovadia Yossef Chlita de mettre la perruque pour les femmes qui travaillent en dehors d'Israel. Pouvez vous me confirmer cela ?
Merci

Je ne peux pas vous confirmer, vu que je n'ai jamais entendu une chose pareille de sa bouche, ni de ses livres, ni de ses élèves.

Kol touv !