Je vous remercie de vos réponses claires et compréhensibles.
J'aimerais vous poser d'autres questions:
Qu'est ce que Kidouch Hachem en tant que femme ?
Des exemples qui pourraient décrire ce concept.
Quels obstacles peuvent surgir en applicant les halahot de Kidouch Hachem ?
Comment une femme pourrait être un exemple vivant pour le peuple juif ?
Je vous remercie d'avance pour vous prendre de votre temps précieux pour répondre à mes questions.
On a écrit des tonnes de livres sur le rapport des femmes avec le qiddouch ha-Chem.
L’un des exemples les plus significatifs nous est donné par l’histoire de ‘Hanna et de ses sept fils (II Maccabées 7). Incités par le tyran à violer les lois de la Tora, ils s’y refusèrent et moururent sous la torture. Après quoi, leur mère se donna la mort.
On citera également, bien que son rapport avec ce sujet soit plus subtil, la berakha que les femmes récitent dans la prière du matin : ché’assani kiretsono (« Qui m’a faite selon Sa volonté »), alors que les hommes disent : chélo ‘assani icha (« Qui ne m’a pas fait femme »). Si la différence entre ces deux berakhoth peut paraître, à première vue, défavorable à la femme, en tant qu’elle la réduirait à un rôle subalterne dans l’œuvre de la Création, on l’explique souvent comme signifiant, bien au contraire, que la femme représente la perfection de cette Création, dans laquelle elle représente l’achèvement ultime de la volonté divine. L’homme, au contraire, a besoin pour s’accomplir aux yeux du divin d’exécuter certaines des mitswoth dont la femme est dispensée, raison pour laquelle il loue Hachem de ne pas « l’avoir fait femme », c’est-à-dire de lui avoir imposé d’autres obligations que celles qui reposent sur sa compagne.
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