Bonjour
OVNI
Objet volant non identifié.
S'entend pour autan qu'il y ait par ailleurs des objets volants identifiés.
Dans un monde ou il n'y a pas d'objet volant identifiés, l'ovni n'a guère lieu d'être.
Dans un tel monde il peut cependant être question d'autres entités volantes singulières, djins, sorcières sur des balais, anges, etc...
Il s'agit là cependant plus de « sujets » que d'objet.
L'expression « objet volant » dit une identité et « non identifié» une limite à cette identité.
Il y a une tension dans l'expression ovni, le « non identifié » ne l'est pas absolument puisqu'il se présente sous une forme identifiable "objet volant".
L'objet volant non identifié, devient une préoccupation, au moment ou les objet volants identifiés et singulièrement ceux résultant d'une activité humaines existent.
L'on considère que l'ovni peut être soit le résultat d'une activité humaine (expériences secrète militaires …), soit d' intelligences extra terrestres , soit de phénomènes hallucinatoires, soit de phénomènes naturels ; il est possible de combiner ces différentes approches.
Le nom « ov/ni », désigne une occurrence particulière du connu/inconnu ; même /différent.
Thora.
Qu'est ce que la Thora? Ce qui a été donné en garde a un peuple.
Quel est ce peuple ? Celui qui a reçu la garde ce don.
Qui garde n'est qu'en fonction de ce qu'il garde et ce qui est gardé n'est qu'en fonction de qui garde.
Qui garde n'est en soi que la garde de ce qu'il garde, ce qu'il garde n'est en soi que l'objet de sa garde.
L'en soi est hors de porté, dans le temps où il se dessine précisément là : en dehors.
Autrement dit il y a Thora et Peuple, aucun des deux terme n'a de sens en soi.
Ce n'est que de ce retrait de « l'en soi » que se constitue la possibilité de l'un et de l'autre terme.
La singularité irréductible de l'un est l'autre terme n'est pas d'ordre théologique, la singularité n'est pas dans l'affirmation d'un UN unique créateur de toute chose, mais dans les modalités dont le multiple est rapporté à l'un et vice versa.
La manière dont c'est plié est plus irréductiblement singulière que ce qui est plié.
La Thora est la constitution de ses gardiens, constitution doit être entendu à la fois au sens juridique et organique.
A la manière si vous préférez dont on peut parler de la constitution française pour désigner un ensemble de textes et de la constitution d'un corps pour en désigner les différents organes.
Singularité toujours, chacun des membres du corps social des gardiens est sensé garantir au mieux, à son niveau, la constitution du tout, il n'est pleinement sensé et gardien, qu'à la mesure des moyens qu'il met en oeuvre en vu d'effectuer cette garanti.
La garde s'impose à tous selon deux modalité : étude et pratique conforme à ce qui est étudié.
Chacun (chaque gardien) est responsable du tout (l'ensemble des gardiens) et le tout responsable de chacun.
L'égalité des gardiens se dit à la forme injonctive : étudie la Thora !
C'est là l'irréductible manière dont l'un et le multiples sont pliés.
Autrement, l'injonction peut se dire, soi et devient ce que tu es.
D'où que la question « qui suis je? » ne se pose pas, la réponse est donné d'emblée :
toi en devenir vers toi. Le devenir est ici autre nom de la garde.
Eu égard à l'ensemble des non gardiens, l'ensemble des gardiens est réflexif, clos et auto fondé.
Qui fonde n'apparait jamais qu'en des noms partiels et circonstanciés dont certains sont de plus d'usage restreint, voir dangereux; se risque au mauvais usage, la folie, la mort ou le reniement...L'affaire est connue.
Ce qui est fondé n'a de sens qu'en fonction de qui fonde.
Ce qui, est, ce qu'en sa simple présence ce qui est fondé à la fois voile et révèle ; plus un absolument autre, lui même.
Si la Thora ne parlait absolument pas des OVNI alors nous tiendrions un scoop (ce dont la Thora ne parle pas), de fait la question première n'est pas de quoi ça parle, mais comment , pourquoi et pour qui ensuite et seulement ensuite, un "de quoi" qui semble premier dans l'expérience sensitive (il y a) peut éventuellement prendre telle ou telle consistance.
Désolé si mon premier envoi vous a heurté, il était j'en conviens laconique et ironique dans sa forme bien qu'absolument correct sur le fond. Dans la mesure bien sur très discutable ou une forme défectueuse pourrait véhiculer un fond qui ne le soit pas.