Tout d'abord, un grand merci pour toutes vos interventions écrites et orales.
J'espère être clair dans ma question.
Dans le Choulhan Arouh/Michna Broura/Dirshu on trouve un principe intéressant.
Le kavod à briot ( même faible) est dohé (repousse) un interdit dérabanan.
Et un gnaï gadol ( une grande honte) repousse un interdit de la Tora bé chev vé al taassé.
Si les Rabanan ont placé le kavod habriot au dessus de leurs interdits c'est dire combien nous aussi devons tenir compte du kavod des briot !!!
Ma question: est-ce que le kavod de mon prochain est dohé un interdit rabinique qui me concerne moi ? Même chose pour le gnaï gadol de mon prochain, est-il dohé un interdit de la tora bé chev vé lo taassé qui s'impose à moi ?
Je n'ai pas d'exemple qui pratique qui me vienne à l'esprit. Si vous en avez merci de les citer dans votre réponse.
est-ce que le kavod de mon prochain est dohé un interdit rabinique qui me concerne moi ? Même chose pour le gnaï gadol de mon prochain, est-il dohé un interdit de la tora bé chev vé lo taassé qui s'impose à moi ?
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