Je cherche la définition précise et exacte du terme métsavé.
Sommes nous-métsavé de mézouza si l'on n'a pas de maison ? Une femme est-elle métsavé de la mitsva du loulav ? Sommes-nous métsavé avant 18 ans de se marier (pirya vérivya) ? Un enfant est-il métsavé des mitsvot d'une part pour l'éducation et d'autre part car un jour il sera obligé de les accomplir : ainsi il serait métsavé mais le sha'at ha'hyouv pas encore arrivé ?
Je ne vous comprends pas, que signifie "avoir" la mitsva sans y être tenu?
Soit on est "tenu" de l'accomplir, soit on ne l'est pas!
(Le fait de vouloir l'accomplir sans y être tenu n'est pas à considérer.)
Ok, je comprends votre doute (sans pour autant en comprendre la raison, pourquoi vous posez-vous cette question qui ne relève que de la sémantique, voir de la convention...)
Mais puisque vous le demandez, je dirais:
Nous sommes metsouvim d'apposer une mezouza à nos portes -si l'on en possède.
Donc : OUI, nous sommes metsouvim/concernés/tenus/etc. par la mitsva de mezouza dès qu'on est juif et majeur.
Seulement la mitsva n'est pas de "mettre des mezouzot", mais de "mettre des mezouzot à nos portes", donc si on est SDF, on est concerné par la mitsva "en général", mais pas en pratique -du moins tant qu'on n'a pas de toit (enfin, de porte).
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