A Msg 1 :
je cite:
Citation:
Si je peux me permettre.
Avec joie.
Citation:
Sur la magie est ce que ca marche ou pas c'est pas une mahloket richonim de base mais tanaim entre r akiva dans avoda zara et guemara Sandrine sur kishouf
Si vous pouviez être plus explicite, nous y gagnerons tous, indiquez plus clairement ce R. Akiva dans Avoda Zara et (quelle shita dans) la gmara sanhedrin.
Citation:
Aussi souligné vu la bekioute et le manque de iyoune de de nos jours que il n'y a de chitot rishonim ou aharonim (vrais) que celle qui sont existante deja a l'époque des tanaim c'est vrais qu'il faut un vrais chimouch pour y parvenir et tout le reste est faux ceci est ecrit dans choulhan aroukh yorei dea 246 4 en raccourcis
Là encore, veuillez expliciter et détailler vos propos.
Citation:
Quand au psakim du choulhan arouh ne sont pas ce qui est écrit dans le choulhan aroukh car cela été pour son epoque mais suit un procédé de psak qui fut ecrit par le mehaber dans le livre alihot olam et qui par la force de cette propre base qu'il a retracé de nos jour lui même aurait ecrit différemment.
Vous devez savoir que le
Me'haber (Rav Yossef Karo) n’est pas l’auteur du
Halikhot Olam (contrairement à ce que vous écrivez), c’est
R. Yeshoua Halévy.
Mais vous vouliez certainement parler d'un autre titre, le
Klalei Hagmara de rav Yossef Karo -rédigé sur le
Halikhot Olam.
Pour être tout à fait honnête, on ne peut pas vraiment dire que les psakim du
Shoul’han Aroukh soient réellement le résultat de ce que
rav Karo écrit dans le
Klalei Hagmara, certaines des règles qu’il utilise dans son
Shoul’han Aroukh ne sont pas traitées dans son
Klalei Hagmara.
Mais je comprends que ce que vous vouliez dire, c’est que le
Shoul’han Aroukh est composé de décisions halakhiques qui répondent à des règles et ces dernières pourraient donner des psakim différents en fonction de changements de mode de vie dus à l’époque.
Dommage que je ne sache pas à quoi vous faites référence dans ce qui a été écrit plus haut et je n’ai pas vraiment le temps de tout relire, même si ça a l’air assez intéressant.
Citation:
Pour continuer suivre les psakim séfarades pour les sefaradim est un dine dans le choulhan aroukh c'est un iniana de neder vekabala ladorote regarder yorei deia sur nedarim ouchvouot
Là encore, c’est vraiment imprécis «
yorei deia sur nedarim ouchvouot », indiquer vos références apporterait peut-être au débat, dommage.
Citation:
Pour finir sur le psak les sefaradim etudies eux aussi les souguiot mais il citerons autruit par anava pour enseigner leurs psak et plutot cela est le dereh des achkenazim de sapuyer sur les prédécesseur pour etre possek sauf des yhidim hasidei hachem comme il est leur dereh d'études d'après leur halaha (voir 1er adresse cité)
Ha bon ?
Citation:
Pour ce qui est de la hachkafa sans vouloir contredire mais cela fut également enseigné missinai comme dit dans la première michna de avot
Le passage du Moussar (dans le Bartenora au début de Avot) à la Hashkafa laisse perplexe… il y a tout de même une petite nuance de taille.
Citation:
et par exemple l'étude du moussar est purement hachkenaz cité dans les première halahot dans le michna broura car le rambam tien qu'il n'y a pas d'étude du moussar regarder 8 prakim du rambam.
La référence fait encore défaut, veuillez au moins citer la phrase à laquelle vous pensez, même si vous ne pouvez en indiquer une adresse précise.
Quant au raccourci que vous faites du
Mishna Broura à Ashkenaze, je ne vous suis pas vraiment.
Si vous dites cela parce que vous n’avez trouvé l’importance de l’étude du moussar QUE dans un possek Ashkenaze (le Mishna Broura), il vous suffirait de lire un peu plus de livres et vous trouverez certainement des idées similaires chez les poskim sfarades.
Voyez par exemple le
‘Hida dans
Birkei Yossef (§1, sk.9) et dans
Kissé Ra’hamim (Avot derabbi Natan §29) et le
Kaf Ha’haim (§1, sk.31).
Et puis on peut considérer le
Ram’hal comme sfarade et vous savez probablement ce qu’il écrit au début du
Messilat Yesharim sur l'importance de l'étude du moussar.
Idem pour le
Pélé Yoets, lui aussi auteur d’un sefer Moussar et voyez ce qu’il écrit
(d’’h Hakpada).
Enfin, je ne dois pas saisir réellement ce que vous vouliez dire, car la distinction sfarade/ashkenaze n’a pas de raison d’être autour de l’étude du moussar, même s’il est clair que les yeshivot ashkenazes ont (depuis quelques décennies) considéré l’étude du moussar comme incontournable avant que les yeshivot sfarades ne s’y mettent de manière systématique.
Citation:
Et dire que nous pouvons pensser ce que nous voulons n'est pas vrai mais il ya écrit veyadata hayom ki h' hou haelokim et non véémanta hayom car même la hachkafa est une transmission.
Ben… justement !
Et puis si la hashkafa est une transmission, force vous sera d’admettre qu’il y a eu des pertes en chemin puisque nous trouvons un désaccord entre
Rambam et
Ramban sur la magie
(et sur tant d’autres points de hashkafa…) et que dire de la ma’hloket citée plus haut sur les Ikarim eux-mêmes ?
Citation:
Elle depend de la halaha et je ne veux matarder dessus car cela rentre dans davar gadol.
Ha, si c’est comme ça, ne nous attardons pas là-dessus.
Citation:
Une reponsse typiquement sefarade sans obligation d'achat.
C'est de la torah donc comme nous cherchons la vérité je dis non pas ce que je pensse mais ce que j'ai étudié.
Ok. Merci pour le partage.