Bonjour
chose promise chose dure.
Voici.
…traité Sota, il est écrit que le Galil sera détruit.
…que les habitants des frontières iront de villes en villes
… les gens n’auront plus la possibilité d’acheter de quoi se nourrir.
…c’est le capitalisme, qui aujourd’hui est en train de s’effondrer
…à une généralisation du conflit dans le monde entier.
…Israël fait du bruit, est terrorisé et dit : ‘Où aller, où venir, où aller, où venir ?‘
…il faut que les autres pouvoirs disparaissent. Nous voyons comment toutes les autres idoles sont en train de disparaître (le communisme, le capitalisme, le sionisme athée, et la société occidentale, qui a cru au bonheur dans les plaisirs matériels, vit une catastrophe et une grande désillusion pour ceux qui savent ouvrir les yeux).
Bref c’est apocalyptique, non au sens étymologique mais au sens usuel du mot.
A vrai dire en lisant ce que vous annoncez en fait de ruines et de destructions je me demande si vous ne décrivez pas simplement la situation mondiale des années quarante.
Vous parlez de l’arrivée du Mashia ou de la Ragnarök ? Kif kif ?
Votre vision d’Israël pré messianique me fait beaucoup penser à l’état de l’Allemagne en avril 45, alors là clairement à mon avis il conviendrait de dire tout simplement non et en plus de faire en sorte que cela jamais ne se produise.
C'est-à-dire, pas à ce prix là ! J’y reviendrai au sujet de la proposition de Oula et Raba.
D’un autre côté ce que vous dîtes peut aussi être entendu comme étant la situation d’Israël et des nations depuis la destruction du Temple.
Voyez alors, ce qui est venu de là, « un mashia d’israël » « D.ieu des goys » !
Rien de nouveau sous ce soleil.
Des idoles qui disparaissent il y en eu de tout temps, des famines aussi, des conflits mondiaux aussi, etc, etc.
L’effondrement à tous les niveaux des « forces du mal » pour le dire de manière un peu caricaturale, n’annonce rien et ne dit rien.Rien.
Rien, absolument rien que leur présence.
Car de fait « l’autre côté » n’est rien, rien qu’ effondrement sans fin, sans fond.
Le miracle permanent est dans le fait qu’au sein même de cet effondrement quelque chose tienne debout.
Il n’y a pas d’intensification de l’effondrement d’où se mesurerait l’imminence d’une sortie.
J’ai l’impression que deux figures liées, d’une part, et, un lieu d’autre part semblent constituer l’horizon de votre pensée : le lieu , Massada, les figures, Bar Kochba et Rabi Akiba.
Incontestablement les figures sont juives et sont grandes, simplement il me semble que si vous pouvez les voir encore, c’est peut être à d’autres que vous le devez, par exemple à Flavius Josèphe et Ben Zachaï.
La nuit dans un cercueil avec la bénédiction de l’empire…contre les zélotes !
C’est certainement moins romantique que Massada, mais c’est comme ça.
C’est de là qu’il y a encore la possibilité de dire.
Au service de Rome se servir de Rome !!! ?
3/ il s’agit des « douleurs d’enfantement du messie » à propos desquelles Oula et Raba (deux grands rabbins du Talmud) disent (Sanhedrin, p. 98b) : « Qu’il (le messie) vienne ! Mais que je ne sois pas là pour le voir
Ouf ! Raide ! Carrément, ça arrache ! Je connaissais déjà au moins ce texte.
Or, voilà, on ne peut pas dire ou entendre ça en passant et tourner la page.
Ils eurent besoin de s’y mettre à deux et grands en plus pour dire çà !
Pour dire quoi ? « …que je ne sois pas là pour le voir ».
Franchement faut oser ! A entendre comment? Qu’est ce que ça veut dire ?
Qu’il vienne, mais pas pour moi ? Pour qui alors ? Pour les autres ?
Qui peut dire cela ? Un juif, deux juifs, des juifs ? De fait toute personne, tout juif, qui lit la phrase dit cela !
« Qu’il (le messie) vienne ! Mais que je ne sois pas là pour le voir »
Cela s’appelle une double contrainte (double bind), les deux énoncés ne sont pas compatibles.
C’est un nœud, ça étrangle, il faut dénouer.
Deux, qui disent clairement, non, pas à ce prix là !
On ne spécule pas sur sa venue à partir de l’intensité prévisible des souffrances sensées la précéder.
Au minimum cela s’entend comme une mise ne garde, il y aurait un piège dans l’idée d’une rédemption par la souffrance.
Quelque chose de fascinant peut être de pas absolument faux, mais un piège.
Il y aurait peut être quelque chose de malsain à simplement vouloir mesurer ces souffrances, même et peut être plus encore en l’attente de…
La souffrance ne demande pas à être intégrée, mesurée, pensée, comptabilisée, en une histoire qui en promettrait le dépassement, même une histoire « sainte ».
Surtout une histoire sainte. En regard de l’histoire sainte, la souffrance demande simplement à être soulagée. Immédiatement soulagée. Immédiatement : sans médiation, sans médiateur.
« La caresse du consolateur qui effleure dans la douleur ne promet pas la fin de la souffrance, n’annonce pas de compensation, ne concerne pas, dans son contact, l’après du temps économique ; elle a trait à l’instant même de la douleur qui alors n’est plus condamné à lui même… » . E.Levinas « de l’existence à l’existant » p156 ; Cité dans « Etre Juif » B.Levy p78.
« Rav Hiya bar Abba tomba malade et Rav Yohanan alla lui rendre visite ; il lui demanda : tes souffrances te conviennent –elles ? Ni elles, ni les récompense qu’elles promettent… ».
Pour plus d’explicitations reportez vous au texte de B.Levy op cité ; page 62 et Talmud Babylonien Berakot. 5b.
La présence est déjà dans l’effort d’un soulagement immédiat de la souffrance, en l’absence de…
Là il n’y aurait rien, ni personne à attendre, toute attente serait déjà un peu criminelle.
_Nous n’avons plus sur qui compter, si ce n’est sur notre Père qui est dans les cieux.
Il descend des cieux et en établi les hauteurs, dans chaque acte qui soulage une souffrance inutile,qui soulage sans compter. sur... autre que soi.
)5/ La montée mondiale de l’islam fondamentaliste apparaît de façon très claire dans les textes de ‘Hazal comme s’inscrivant dans le « programme » des évènements pré-messianiques : Yalkhout Chimoni (recueil de midrachim datant de plus d’un millénaire) parachat Lekh Lékha
_L'islam fondamentaliste si tant est que l'expression ait un sens n'est rien que du vent.
En rien une montée, seulement le visage à peine remaquillé de la haine ordinaire, haine de soi, haine du monde et ...des Juifs.
Légitimation du meurtre, s'affranchir des "interdits au" nom du D.ieu. Abomination ici et là et en tout temps.
14 : « Le messie ‘grandit’ sur Ichmaël ». C'est-à-dire qu’Ichmaël est le « véhicule » qui, malgré lui, prépare et approche la venue du Messie.
_Jusqu’à ce qu’il ai atteint la taille requise ?
Qui la mesurera ?
Si le messie grandi sur Ichmael, alors pourquoi pas : qu’Ichmael grandisse !
Cela alors voudrait dire quoi grandir ? Qu’est ce qui est grand ?
6_l’insolence augmentera, le pouvoir tombera dans l’hérésie, ceux qui craignent la faute inspireront de la répulsion, la vérité aura disparu, les jeunes gens ridiculiseront les anciens, le fils injuriera son père, la fille se dressera contre sa mère, la bru contre sa belle-mère. L’homme aura pour ennemis les gens sa propre maisonnée.
Ô tempora ! Ô mores ! Cicéron, Catilinaires,I,1
Donc même un romain pouvait dire cela, en fouillant vous trouverez aussi des lettres d’un père égyptien à son fils allant dans ce sens plusieurs millénaires avant Rome…
Il le mettait aussi en garde contre les prostituées étrangères du bord du fleuve et la bière…
On n’est pas sorti de l’auberge.
9._Le conflit qui est censé éclater à ‘Hanouka est censé nous amener à une généralisation du conflit dans le monde entier.
Que veut dire « le conflit censé éclater à Hanouka doit amener à une généralisation du conflit dans le monde entier »?
Qu’un conflit doit éclater, se déclencher, au moment d’une célébration de Hanouka, en telle ou telle année à venir ou à peine passée?
Peut être.
Peut être aussi que dans le conflit dont toute fête de Hanouka, célèbre l’issue, il y avait déjà une « généralisation au monde entier », conflit entre la pensée grecque, une certaine forme d’universel, et la pensée juive, une autre forme.
Là il y eu l’intervention d’une femme juive, Judith, nommément on peut difficilement dire plus juive.
_Dans le traité Yoma page10a, il est écrit qu’il y aura une guerre entre la Perse et l’occident.
L’affaire n’est pas nouvelle, le conflit entre « la Perse et l’Occident » était déjà une préoccupation dans l’antiquité, voir Eschyle, les « Les Perses ».
Pour faire bref l’on peut considérer qu’il y avait là une opposition entre la démocratie athénienne et le grand Roi, le despote oriental et le démos occidental.
Notons que l’un et l’autre produisent de l’un. Ils ont du mérite en cela, et si mesure il doit y avoir peut être doit elle être mesure des mérites, la mesure des démérites risquerait, elle, d’être sans fin.
Israël alors ? Une voie médiane ? Un despotisme démocratique, une démocratie despotique ?
Un mélange? Ni l’un ni l’autre ? Un équilibre ?
Pour ce qui est d’Israël et de la Perse, là encore une femme juive, Esther.
Que vient faire exactement une femme juive à côté et très près d’un roi Perse ?
Un Flavius Josephe au féminin ?
Et pourquoi faut il que cette femme ait un nom à consonance aussi « babylonienne » ?
Ce dernier fait est signalé entre autre dans le dictionnaire encyclopédique du judaïsme (col bouquin, Ed cerf/Robert Laffont. Page 802°, à l’article Pourim.
Ishtar, c’était la « divinité » de la guerre et la prostitution du temps au moins d’Abraham, alors ?.
Si le nom du D.ieu n’est pas cité dans la meguilla, çà veut dire quoi ?
Il font quoi les Juif déportés en Perse, ils sont accueilli à bras ouvert par des « gentils » perses?
Ou alors c’est la « zone », dealers, racketteurs, voleurs, ou flics, mercenaires, la légion étrangère ? Surtout chacun pour soi. Dans l’empire peut être que, même chez les juifs c’est chacun pour soi !
Et les femmes, elles s’en sortent comment quand les mecs sont dans un tel « bordel » ?
Aman il plaide quoi auprès du Roi, c’est quoi le danger pour l’empire, des pieux religieux exilés ou de la racaille qui menace de dissolution le corps social tout entier ?
Prostitution menace pour les familles, violence menace pour la paix sociale, économie souterraine menace pour la prospérité.
La victoire du Roi risque de se transformer en défaite.
Problème entre le roi et le peuple, le plus bas du peuple, le lumpenprolétariat dirait Marx.
Israël et la Perse vraiment c’est toute une histoire …
Voyez là comment descend Ishtar :
http://www.quellehistoire.com/docu/ishtar.pdf
Et ailleurs, comment monte Esther.
Les filles de Lot, Tamar, Ruth, Judith, Esther, c’est plein de femmes bizarres dans la Thora, vu l’envergure de ces dames et leur capacité à dénouer des trucs tordus c’est à ce demander si le Mashia lui même ne ferait pas mieux d’être une femme, à moins qu’il y en ait simplement une à ses côtés. Elle était où la femme de Moshe ? Elle venait d’où ?
10. Si le conflit va en s’amplifiant, il se peut que béezrat Hachem à Nissan nous soyons sauvés.
Pourquoi pas tout de suite ? béezrat Hachem, comme vous dîtes.
Pourquoi attendre que le « conflit » s’amplifie ?
Vous souhaitez le pire pour accéder au meilleur ?
Je crains le pire.
11. Le Maharal de Prague écrit qu’avant que le pouvoir de D. se dévoile par l’entremise de Machia’h sur terre, il faut que les autres pouvoirs disparaissent.
_Etes vous sur que ces autres pouvoirs ce sont les nations et leur armes, politiques, économique, idéologiques où militaires ?
Staline : « Le vatican combien de divisions ? » une réponse lui est venue plus tard même si le Vatican seul n’a pas fait tomber l’empire rouge.
Maintenant reprenons la question de Staline autrement :
« Isarël combien de divisions ? »
Certes, réponse facile, on peut compter les chars et les soldats, on doit facilement arriver à quelques chiffres ; pas de quoi vraiment faire tomber un empire.
Mais si l’on entend autrement « divisions », on arrête les comptes à combien ?
Combien de « sortes » de juifs ?
Alors comment l’on produit de l’un avec ces divisions là.
Le hezbollah, les perse, les romains, les belges, les chinois, les corses et les écorces, ok, le Mashia s’en occupe ou s’en occupera mais les divisions d’Israël c’est quoi ? C’est pour qui ? C’est comment ?
Je ne dis pas que cela soit mauvais, simplement comment faire Un avec ça ?
Comment dire un Nom UN en « israëlien » divisé ?
Il y a un pouvoir de la division, bon en un sens ; dangereux en un autre, pas facile d’y voir clair.
_Nous n’avons plus sur qui compter, si ce n’est sur notre Père qui est dans les cieux.
Là vraiment j’ai du mal à suivre, cela me rappelle trop le catéchisme, je préfère l’idée de la Thora qui n’est pas dans les cieux.
Ce n’est pas que je sois absolument contre l’idée de compter sur le « père dans les cieux », mais cela me semble ; au mieux , évoquer toute une série de questions sur la grâce difficiles à manipuler et au pire n’évoquer rien.
La Thora sur terre je préfère; remarquez ce n’est pas facile non plus.
C’est même tellement tordu que l’on se demande dans quel cerveau un truc pareil a pu germer.
Peut être un cerveau de femme. Ceci expliquerait pourquoi se sont surtout les hommes qui ont l’obligation d’étudier, la preuve qu’il n’y comprenne pas grand-chose se verrait alors dans le fait qu’ils posent tout le temps des questions ; au mieux, c'est-à-dire, quand ils ne confondent pas questions et certitudes.
Tant bien, comme on dit à Marseille, quand Hachem a donné la Thora à Mosche, le Yod et le Vav étaient en vacances, restaient que deux Héh pour causer avec Moshe, d’où dix paroles.
Une femme c’est bavard mais çà sait aussi être particulièrement dur et lapidaire.
La Thora s’est un truc un peu pragmatique non ?
Les femmes, un père dans les cieux, bon pourquoi pas, ça peut les intéresser mais un homme, père, fils, frère ou époux à la maison, c'est-à-dire auprès d’elles, sur terre, souvent cela pourrait leur suffire.
2. Le Talmud (traité Sanhedrin p. 98a) écrit que le signe le plus clair que l’époque messianique est proche est le fait que la terre d’Israël, qui après être restée désertique durant tout notre exil, recommencera à donner ses fruits de façon abondante. Les non juifs ont beaucoup parlé du « miracle agricole israélien ».
Là je dis, soit ! Bien. La terre c’est concret, c’est d’ailleurs ce qui semble faire encore problème la terre, beaucoup de problèmes.
Une terre qui donne des fruits, qui reverdit, c’est sympa, on dirait le printemps.
_Les non juifs ont beaucoup parlé du « miracle agricole israélien ».
Et vous vous dîtes quoi ? Ailleurs ceci :
_ Ce texte expose clairement la situation déplorable de notre société (laïque) où il n’y a plus de vérité. La direction de l’état d’Israël est assurée par des gens corrompus. Dans les médias israéliens, il y a un très fort courant antireligieux. Dans de plus en plus de cas, la cellule familiale éclate. Il n’y a plus aucune hiérarchie ni respect des anciens ou des parents.
Simplement voilà :
La terre qui reverdit, ce fut et c’est encore, aussi le boulot, de laïques, des « communistes », des athées, voir des antireligieux et probablement aussi de corrompus.
Dur à avaler, un peu plat comme galette, un peu amer comme nourriture, c’est pas de la douce galette Egyptienne mais faudra faire avec parce que simplement c’est comme çà !
La vérité voyez vous c’est dangereux, on manipule avec délicatesse sinon c’est la mort.
Alors voilà, il y a des juifs qui sont « goys », mais ils le sont différemment parce que justement ils sont juifs aussi.
Sans nombre d’entre eux, la terre serait encore un désert et vos propos sans fondement.
Attention donc à la terre qui est sous vos pieds.
3« comme une femme qui après 9 mois de grossesse entre en processus d’accouchement, il s’agit des « douleurs d’enfantement … »
Qui, sait, quoi ; de la douleur d’une femme, si ce n’est une femme et peut être D.ieu.
Peut être.
_7 Le fait que le masque d’honnêteté de ces mécréants tombe est un signe que leur pouvoir est en train de tomber,
L’on peut aussi penser que leur pouvoir se renforce et qu’ils n’ont plus besoin de masque, si tant est qu’ils en eurent jamais besoin.
Et, qu’y aurait il eu derrière ce masque si ce n’est la somme de millions de masques…
_3Aujourd’hui, nous comprenons : la Choa, les bolcheviks, Staline, les guerres de l’état d’Israël, le terrorisme…
Avant l’on ne comprenait pas ? Celui qui a écrit les propos que vous citez ne comprenait pas, idem ceux qui ont lu, avant nous, avant vous ?
Trop sots ? Trop loin du Mashia, pas à l’heure ? Pas assez souffert pour comprendre ?
_8Or il est écrit clairement dans les commentaires de ‘Hazal (traité Meguila page 6a, rachi sur le verset 23 du chap. 25 de la Genèse) que lorsqu’Essav monte, Jacob tombe, et lorsqu’Essav tombe, Jacob monte.
Clairement écrit et clairement tout aussi, cela veut dire quoi ?
C’est si clair, que cela se passe d’interprétation ?
Esav monte ? Où ? Quand, comment, pour quoi, d’où vers où ?
Cela veut dire quoi monter ici ?
Et là : Jacob monte ?
Si monter ici ce n’est pas monter là alors pourquoi « monter » ici et là.
Idem pour tomber.
Un monte l’autre descend, description d’un mouvement, cela permet il de déduire qu’il faut que cela s’arrête ?
On arrête un jour de monter ? On ne risque plus un jour de tomber ?
Vous voulez que l’un des deux disparaisse ? Ce sont des jumeaux non ?
Allez voir leur Mère, allez voir leur Père, parlez en alors à leur Mère, parlez en à leur Père.
Et dites devant eux : que l’un, des deux, disparaisse !
Ne craignez vous pas de courir ainsi le risque, d’effacer le beit du rechit ?
Il n’y aurait peut être plus alors qu’à fermer le livre, la victoire risquerait d’être amère.
Ceci : l’amertume il convient de la neutraliser avant de sortir, parce que l’amertume çà fait gonfler la tête et lever la pâte, or quand la tête gonfle il devient plus difficile de sortir, voir impossible
Ne serait ce que de soi vers soi.
_N’ayez pas peur, le temps de votre guéoula est arrivé.
A vous lire, je vous le souhaite.
Cordialement.