Citation:
1. Vous considerez la femme comme etant chaliah' du mari pour l'allumage des bougies de Hanoukka.
Non, la femme ne serait pas un Shalia'h à proprement parler, c'est surtout dans la question que cette idée apparaît:
Citation:
ou bien demander à ma femme d'allumer (comme chaliah)
Je ne pense pas avoir dit la même chose, même si je parle de
Mitsva Bo Yoter Mibeshlou'ho, c'est parce que c'est l'expression utilisée par le
Shevet Halévy que je citai.
L'idée nous concernant (lorsque c'est l'épouse qui allume), c'est que l'homme doit
a priori allumer lui-même et ne pas laisser ce rôle à sa femme.
De la même manière qu'une femme ne doit -
a priori- pas laisser l'allumage du vendredi à son mari, même si ça se fera dans certains cas particuliers.
Citation:
2. Par "dans le cas le plus fréquent pour un juif français", voulez-vous dire que cette reponse est pour qui allume dans la maison, mais pas pour qui allume a l'exterieur?
Non.
C'est certes un paramètre qui a son importance, mais j'en parle séparément ensuite, je me cite:
"Il faut aussi tenir compte d’autres notions, comme : si vous allumez à la fenêtre ou à l’intérieur.
En allumant à la fenêtre, il y a un Pirsoum qui se fait sans tenir compte de vos éventuels enfants. "
Ce que je voulais dire est trop long pour être mis par écrit
(sans déclencher une avalanche de questions), je préfère donc m'en abstenir.
Pour ne pas vous laisser repartir totalement bredouille, je dirais
de manière très succincte que c'est lié au peu de Amal Hatora
(ressenti dans les familles françaises -nous parlions du cas le plus fréquent), qui accordera plus d'importance qu'il n'en faudrait réellement à certaines habitudes et Halakhot/minhaguim.
En espérant
ne pas avoir été assez clair
(pour tous) -et ainsi éviter des tas de remarques, je m'arrête-là.