On récite les mots (selon les rites achkenaze et sfard) : Qèl mélekh nééman avant le premier verset du Chema’ en l’absence de minyan. Il est cependant une circonstance où ils ne sont récités que lorsqu’il y a minyan. Quelle est cette circonstance, valable selon tous les rites ?
Il y a beaucoup de discussions parmi les Rishonims concernant la question s'il est approprié de dire "Kel Melech Neman" en présence d'un Minyan. Et il y a des endroits qui ont eu cette coutume (voir Ramban sur Berachos 11b, m'a-t-on précisé).
Cependant, le Rama explique sans équivoque que cela ne devrait pas être dit quand on fait partie d'un Minyan régulier, et c'est le consensus des Poskim.
La seule exception possible est peut-être si quelqu'un ne peut pas entendre le chazan exposer "Hachem Elokechem Emet", par exemple s'il est sourd, il y a un argument à faire (bien qu'il n'est pas simple) qu'il dise "Kel Melech Neman," car il y a un besoin pour lui d'exposer les deux cents quarante huit mots qui correspondent au corps, comme il est énoncé dans le Midrash et il est cité dans Halahah.
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