Renseignements recueillis à bonne source, si on se rend compte de son erreur dès qu’on l’a commise (comme dire acher kidechanou quand il ne le faut pas) , on se reprend en disant la suite normale de la berakha, par exemple chéhakol niheya bidevaro. Tokh kedei dibour, il n’y aura pas eu de berakha levatala.
Si on ne s’en rend compte que plus tard, on dira barouh chem kevod malkhouto le‘olam va‘èd. Puis on récitera la berakha qui convient. Car a‘har kedei dibour, la berakha levatala n’aura pas pu être évitée.
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