Pour beaucoup de bonnes raisons, en voici au moins trois;
1) Car on en est acquitté par le shéé'hiyanou du Yom tov (kidoush). (Meiri Psa'him 7a) (Shibolei Aleket §234) (Maté Moshé §669)
2) Car la Sfira amène à Yomtov et on se suffira du Shéé'hiyanou du yom tov (de Shavouot). (Rabeinou Yerou'ham Sefer Adam Netiv 4, H5) (Or'hot 'Haim fin de il'hot bra'hot) (Levoush §489,1) (Kaf A'haim §489, 3)
3) Car il n'y a pas de quoi se réjouir (Maaram 'Haliwa Psa'him 7a) (Rabeinou Yerou'ham op cit) (Tosfot Souka 46a d"h Aossé) ( Baer étev §489,5) (sefer Aïtour fin de il'hot matsa oumaror) (sefer Amanhig pessa'h §64)
Et il y a même de quoi s'attrister ! (Baal Amaor fin de Psa'him) (Ran Fin de Psa'him) (Rashba Shut I, 126 et VI, 44) (kol bo §55) (Maté Moshé §669) car c'est zé'her lamikdash, comme on le dit juste après la sfira Ara'hman hou ya'hzir lanou Avodat Beit Amikdash limkoma…
(voir encore Rokéa'h §371)
4) Le Maaram Mints cité par le Maté Moshé (§669) justifie l'absence de shéé'hiyanou de peur que l'on oublie un jour et ça serait Bra'ha levatala.
(Tandis que la bra'ha de la sfira elle-même est propre à la "partie de mitsva" de chaque jour –Maarsham, Ein Aroïm p.56)
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