Calculs hypothétique d'adaptations de juridiction divine

Kevod Harabanim,

nous savons qu'un certain nombre de aveiroth ont été mises en place dans un but préventif par les H'ah'amim dans le but de nous éloigné d'un interdit mine haTorah par exemple, interdit qui serait donc beaucoup plus dur a eviter ( pas dans tout les cas je pense, car je me rappel de cas de gzérot midérabanane qui protege aussi de gzérot miderabanane mais qui sont appelé koula H'ada gzéra (souvenir d'école ) )
Ainsi, l'infraction de ces différente interdictions "artificielles" si je puis dire, est en soit, déjà comptabilisé comme une avéra, et, de plus, le fait de les enfreindre retire une une barriere qui séparait le petit enfant pur, de la Avéra de base ( mine haTorah )

Voici ma question, en espérant que mes postulats sont justes :

Une personne ayant enfreint, une par une, les barrières fixés par les Rabonim, ne se retrouverait-il pas dans une sorte de Oness infranchissable par rapport a la derniere avéra ? et donc n'aurait pas la punition promise a priori, punition hybride qui s'ajouterait a la somme des punitions des infractions de barrières...

Hodesh Tov et Hazak pour votre site !!

Je cite :

Non.
La barrière rabbinique évite de se trouver dans une situation où l’on pourrait plus facilement enfreindre l’interdit de la Thora, mais ça ne veut pas dire qu’une fois cette barrière franchie, on ne peut plus résister. ça ne devient pas un oness.

Par contre, "une personne ayant enfreint, une par une, les barrières fixées par les Rabonim" se doit de faire une tshouva sincère...

merci pour votre réponse !