Lorsque je suis en train de faire le Chéma Israel à la synagogue, dois-je m'arrêter et me lever pour faire la Kédousha avec le Kahal ?
Pourriez vous me dire pour quels passages, ( exemple : le kaddich ) je dois arrêter ma priere ?
Depuis le mot hodou jusqu’après la chira (« cantique de la mer Rouge ») se trouvent les pessouqei de-zimra.
A partir de Baroukh chéamar jusqu’à la fin de la prière qui suit la ‘amida, il est interdit de s’interrompre pour toute parole, même en hébreu.
Il existe cependant une différence entre les pessouqei de-zimra et leurs bénédictions, d’une part, et la lecture du Chema’ et ses bénédictions, d’autre part. Pour les pessouqei de-zimra, même au milieu de Baroukh chéamar et au milieu de Yichtaba‘h, si l’on entend quelque bénédiction que ce soit, il est permis d’y répondre Amen.
De même, si on entend que l’assemblée lit le Chema’, on récite avec elle le verset Chema’ Yisrael. A plus forte raison pour Qaddich, la Qedoucha et Barekhou, il est permis de s’interrompre et de répondre avec l’assemblée. Cependant, s’il est possible de s’arranger pour s’interrompre dans ces cas à une césure, par exemple entre deux Psaumes ou au minimum entre deux versets, il faut le faire.
Pendant la ‘amida, on ne doit s’interrompre ni pour Qaddich, ni pour la Qedoucha, ni pour Barekhou. Mais on doit se taire et prêter attention à ce que disent l’officiant et l’assemblée. Ce silence est considéré comme si l’on avait répondu, en ce sens que l’on est quitte et qu’il n’est pas considéré comme une interruption (Kitsour Choul‘han ‘aroukh 18, 14).
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