Citation:
Le hovote alevavote dans l’introduction du chaar àbitahon(avec l’explication du lev tov) : celui qui est boteah en autre chose en dehors d’hachem , hachem enlève sa « hashgaha » et l’abandonne dans la main de celui envers qui il est boteah . De ma lecture de l’introduction sur le principe du bitahon je comprend que la seul personne envers qui il faut s’appuyer c’est hachem même si le bien reçu passe par un intermédiaire (humain) .
Comment peut on avoir une obligation d’akarate atov envers ceux qui nous font du bien ? On ne peut pas reconnaître le bien d’eux car c’est hachem qui nous la procurer et pas eux . De plus en les remerciant sûr on risque de réduire notre bitahon car on se rend compte que c’est eux qui nous produise le bien (du moins en partit car ils ont eu la behira de me faire du bien même si ils ont eu ce potentiel d’hachem) .j’espère avoir été claire c’est un peu compliqué à expliquer 😅
Je n’y vois pas de contradiction ;
La Hakarat Hatov ne se justifie pas uniquement dans un cas où sans la personne, on n’aurait pas pu bénéficier du bienfait.
Je veux dire que si quelqu’un vous tient la porte, vous le remerciez et ne lui dites pas «
j’aurais pu ouvrir la porte sans vous ». Pourtant, qu’il vous l’ait tenue ou non, vous seriez passé.
Ici aussi, que cette personne ait concouru ou non à votre bien, D.ieu vous l’aurait envoyé autrement, mais en attendant, vous la remerciez d’avoir bien voulu être le canal par lequel ce bien vous arrive.
