Dans quel cas un chalia‘h tsibbour non kohen ne récite-t-il pas, un jour de semaine ordinaire, la même chose dans la ‘amida bela‘hach que dans la ‘amida be-tsibbour ?
Facile! Les jours de jeûne, où à voix basse l'on dit anénou dans chema kolénou, tandis que dans la répétition, on intercale anénou dans une bénédiction à part après goel israel, et termine: baroukh ata hachem, haoné beet tsara. Cela ne se fait que lorsqu'il y a le nombre suffisant de personnes qui jeûnent.
Je vois une solution: si le chaliah tsibour n'est pas du même rite que celui de sa communauté, il priera belahach selon son rite et à voix haute selon le rite de la communauté.
Encore reste-t-il à savoir ce que l'on appelle une prière différente? Pour toutes les prières où l'on fait hazara, il y a forcément une différence: la kedoucha! Et encore plus dans les communautés achkenazes où l'on ne dit pas ata kadoch comme belahach mais ledor vador!
Un habitant d’Erets Yisrael qui a prié une fois dans ce pays pour la pluie entre le 7 ‘hechwan et le 5 décembre et qui part en ‘houts la-arets ne priera pas pour la pluie, pendant cette période, dans la ‘amida be-tsibbour, mais il le fera dans la ‘amida bela‘hach.
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