On peut interpréter l’enlèvement des cendres en faisant appel à la règle selon laquelle on n’a pas le droit de rappeler ses fautes passées à quelqu’un qui a fait techouva (Choul‘han ‘aroukh‘Hochèn michpat 228, 4).
On peut rapprocher de cette interdiction la mitswa de l’enlèvement des cendres :
Après qu’une offrande a été consumée sur l’autel, il n’en reste plus que des cendres. L’obligation de les faire disparaître nous rappelle que nous pouvons tous repartir dans un état de pureté retrouvée, dès lors qu’il ne subsiste plus aucune trace de nos péchés.
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