Ceci n'est pas une obligation, mais une bonne coutume de poser la main droite sur la mézouza en passant devant. Ramah, Yoré déah, ch.285, par.2; Taz, ch.286, par.5; Sefer harédim, ch.5, par.21; Chalmat 'haim, ch.570; Yéssod vechorech aavoda, ch.2, par.8. (Bien que Rabbi Akiva Iguer , ch.58 prétend qu'il n'y a pas de source dans la guemara, les décisionnaires ont repoussé cet argument par la guemara Avoda zara, 11a avec Onkélos).
Le Arizal stipule qu'il est bon de déposer le doigt sur le nom Chadai et de l'embrasser (Birkei yossef, Aroukh Hachoulhan, rem 61, Yossef Omets, bien que Rav Chlomo zalman Auerbach ne l'embrassait pas (Halikhot Chlomo, ch.7, rem.35) la coutume répandue est de l'embrasser (Kistour Hachla, Hayé Adam).
Il est recommandé d'agir ainsi surtout en entrant du domaine public vers la maison (Agour Béaholékha, ch.3, par.8).
Le livre Tsina malé sifra raconte que le Hatam Sofer a refusé de donner le poste de Rav de la ville à un prétendant au poste qui n'a pas embrassé la mezouza en sortant de la maison.