Ma femme est institutrice au Gan et par une journée de jeûne (17 tamouz approchant), cela lui est trés difficile de jeûner vu la quantité d'energie à fournir auprés des enfants de sa classe, d'autant que ce jeûne est très long à Paris (fin du jeûne: 22h52) ?
Quelle est l'attitude selon vous à adopter ?
Insister auprès d'elle quel qu'en soit le sacrifice afin de lui faire respecter une ordonnance des sages qui incombe à tout le tsibour, en sachant qu'elle est trés pratiquante donc je ne lui apprendrais rien en lui rappelant l'importance des mitsvots, même si la récompense est fonction de l'effort ?
Ou encore "fermer les yeux" en me disant que si c'est au dessus de ses forces, Hachem sera miséricordieux ?...
Elle est tenue de jeûner, à moins qu'elle soit enceinte (Choulhan Aoukh, 554, 5).
Elle tâchera toutefois de se reposer en prenant une aide extérieure, ou au moins à diminuer ses efforts, et D... l'aidera.
De plus, sachez que les femmes ont souvent plus de force mentale que l'homme, et quand elles décident de quelque chose, toutes les difficultés sont amoindries.
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