Il est écrit : « Si tu te gardes de profaner le Chabbath, de faire ce qui te plaît en Mon saint jour, si tu appelles le Chabbath “un délice”, consacré à la sainteté de Hachem, si tu l’honores en t’abstenant de suivre tes propres chemin, de chercher ton plaisir et de dire des paroles [vaines] (we-dabèr davar)… » (Isaïe 58, 13).
De cette expression we-dabèr davar, nos Sages ont déduit que notre parole, le Chabbath, doit être différente de celle de la semaine, et que l’on ne doit pas, par conséquent, avoir en ce jour-là une activité profane.
Le Teroumath ha-déchèn permet cependant de se plonger dans l’étude d’une sagesse profane si l’on y trouve une satisfaction personnelle. Tel n’est certainement pas le cas d’une révision en vue d’un examen.
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