J'ai eu une éducation religieuse et un parcours haredi jusqu'à il y a 1 an.
A la mort de mon père, j'ai perdu mes repères et porté un regard nouveau sur ma vie, mon couple et ma situation pour decider de tout remettre en cause.
Je me suis d'abord adressé à des Rabbanims mais je n'ai pas eu d'oreille tout au plus une discussion d'une bonne heure avec pour conclusion une bonne tape sur l'épaule et ne vous inquiètez pas priez et vous allez voir tout ira bien !
Tout ne va pas bien et je dirais que tout va de pire en pire ! ! !
Je me suis donc tourné vers le monde de la psychologie pour découvrir des éléments beaucoup plus concrets et des axes de relfexion et d'amèlioration nombreux et bien rééls.
Cette cure a duré un peu plus de 6 mois avant que je ne cesse de voir ma psy.
Ma situation ne va pas mieux, mon couple est moribond et ma situation financière est catastrophique, mais je me sens mieux et moins atteint par les épreuves quotidiennes.
Mais mon grand point noir dans ce tableau est ma descente aux enfers sur le plan religieux, mon désir de rompre avec une hypocrisie, celle que je pouvais avoir face à la téfila faite sans coeur et d'autres mitsvots que j'ai abandonné.
Je n'ai plus de référence, plus de rav a qui je puisse mon confier et sentir que l'écoute est la et qu'il m'apporte un réel soutient.
Je ne sais pas si mon couple va perdurer mais je voufrais au moins retrouver le contact avec mon créateur, pour ce faire j'ai besoin de comprendre ce qui se passe en moi, le méchanisme qui me fera faire les choses par conviction et non par obligation.
Ce qui me permettra de donner un gôut et du désir dans l'étude et l'accomplissement des mitsvots.
Ce message s'inscrit dans une quête que j'ai initiée il y a quelques mois, j'écume les différents sites de torah pour poser mes questions et surtout nouer un lien avec une ou plusieurs personnes qui pourraient m'aider et peu être devenir un ami.
La semaine prochaine, je voyage en Israël, l'occasion pour moi de rencontrer d'autres personnes la bas et peu être trouver cette réponse que je cherche depuis si longtemps.
Si l'un de vous n'a, ne serait ce, qu'un élément de réponse . .. je suis preneur !
Votre message est très ancien, et j'espère que depuis le temps vous avez trouvé une voie consolatrice et rassurante.
Je distingue dans votre message l'incohérence entre la contrainte et le plaisir de faire la Tora. Il est évident que la Tora s'impose. Néanmoins elle n'est pas incompatible avec le plaisir intense et immense à être vécue.
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