Je travail actuellement dans une boutique en Israël. La totalité des produits que je vend porte une teouda de cacherout. Cependant cette semaine le propriétaire à mis en vente dans la boutique des vins israéliens sans hasgaha, car d'après lui "ils sont casher quand même, et les hashgahot ne sont qu'une question d'argent dans le domaine du vin".
Ma question est: Si un client non religieux veut cette bouteille sans hashgaha, ai je le droit de lui vendre ? (Bien entendu, je l'en averti et malgré cela il veut l'acheter).
Sachant que si je refuse je devrait arrêter de travailler là-bas.
Selon votre patron, les vins sans hashga'ha sont kshérim (kashers), moi je me demande si les vins AVEC hashga'ha sont kshérim...
Lorsqu'on voit comment ça se passe sur le terrain et l'extrême difficulté qu'imposent les normes de kashrout du vin, c'est certainement un des produits les plus difficiles à réaliser dans le kasher.
Certes, en Israël - si c'est du vin israélien - il y a moins de problèmes de contact des non-juifs, mais reste le souci du contact des moumarim...
Pour vous répondre: étant donné que le vin non kasher est accessible chez l'épicier voisin, votre responsabilité se résume à l'information; vous devez prévenir les juifs qui l'achètent qu'il n'est pas kasher, c'est tout.
Vous n'avez pas à perdre votre place pour les empêcher de consommer non kasher.
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