Citation:
Rav Binyamin Wattenberg a écrit:
Le rôle des beaux-parents n'est pas d'aider financièrement.
Parfois ils le font, c'est très bien, mais en aucun cas un gendre peut se permettre d'avoir une critique sur le fait que ses beaux-parents ne l'aident pas.
Les beaux-parents ne doivent RIEN à leur gendre, ni à leur fille, c'est plutôt le contraire: eux pourraient avoir une critique sur vous s'ils étaient en difficulté et que vous les ignoriez.
Une des règles du bonheur est de considérer que personne ne nous doit rien.
Bref, je pense que vous devriez suivre le conseil avisé de votre épouse qui dit "qu'il faut faire avec" et bien entendu suivre aussi votre vision qui consiste à espérer en l'aide d'Hashem, sans avoir besoin de passer par la miséricorde humaine.
Si possible, augmentez un peu votre temps quotidien consacré au limoud Torah et au Moussar.
Ceci conjugué à la prière, ça devrait aller.
Qu'Hashem vous envoie une bonne santé, un bon travail, une parnassa, la réussite avec les enfants, le Shalom et le bonheur.
chalom très cher Rav Wattenberg
merci infiniment pour votre réponse et pour vos encouragement je suis entièrement d’accord avec vous, mais je reste sans réponse de votre part face a l’indifférence du point de vue moral, humain... il est vrais que Une des règles du bonheur est de considérer que personne ne nous doit rien. et je suis entièrement d'accord avec vous. C'est du bon sens.
Mais comment ont doit se comporté face a des personnes qui nous ignores et sont indifférent a nous, quelle est l'opinion de la torah sur l’indifférence? aux delà de l’indifférence de mes beaux-parents, comment considéré les personnes: famille, belle famille, amie... Qui sont indifférent a notre situation? comment la torah nous conseils de réagir face à l’indifférence ? Nous sommes seul et isolé sans aucun soutient moral. peut-être que je me trompe mais il me semble que être rahmane, bayechane, gomel hassadime sont les signes qui distingue un juif face a notre situation je voie juste le contraire, je constate le comportement inverse de lo taamode al dam rééha... Comme vous le dite "Une des règles du bonheur est de considérer que personne ne nous doit rien." et " qu'il faut faire avec " si je vous comprend lorsque un ben Israël chute, je l'ignore, je reste indifférent et me donne une bonne conscience grâce a vos arguments :" Une des règles du bonheur est de considérer que personne ne nous doit rien" par conséquent je lui doit rien, et le conseil avisé de mon épouse qui dit " qu'il faut faire avec " et bien qu'il fasse avec. je vous cache pas que ses un hidouch. Et de lui dire :espère en l'aide d'Hashem, sans avoir besoin de passer par la miséricorde humaine. augmente un peu ton temps quotidien consacré au limoud Torah et au Moussar.
Ceci conjugué à la prière, ça devrait aller. j’espère vous avoir bien compris.
Merci encore pour votre réponse et vos bénédictions Qu’Hachem vous protège et vous bénisse.