Il est difficile de répondre à toutes ces questions sans avoir une connaissance plus "orale" du problème, et en ignorant le point de vue de l'autre personne concernée.
Ce qui apparaît toutefois de ce que VOUS dites est que cette personne semble vous aimer - dans l'état actuel des choses - comme j'aime moi même le poisson frit, c'est à dire en ne m'occupant de lui que pour pouvoir m'en satisfaire. C'est peut-être de l'amour-propre (pas si propre que cela...), mais sans doute pas de l'amour.
Peut-être y avez-vous vous-même contibué en étant trop exclusive (combien de temps ne voyait-il plus ses amis ? Parce que cela ne lui disait rien, ou bien parce qu'il y avait de votre part une pression, consciente ou non? ).
Vous accrocher aux basques de quelqu'un qui n'est pas prêt à donner ne vous n'apportera que frustrations et misère. Sans parler du fait que ce caractère n'est pas "aimable" au sens étymologique, c'est à dire "que l'on peut aimer".
Par ailleurs, lorsque l'on veut exiger de quelqu'un, il faut revoir sa propre attitude pour pouvoir détecter ce en quoi l'on est également fautif afin de ne pas injustement NE demander QU'à lui.
Plus généralement, peut-être est-ce le moment pour vous de vous poser la question de savoir si ce n'est pas votre mode actuel de vie qui vous met en présence de personnes "profondément superficielles" ?
Ne devriez-vous pas d'abord (20 ans c'est encore jeune et vous avez encore le temps de faire votre choix) chercher votre épanouissement ailleurs que dans la relation de couple ?
Dans l'ordre des priorités:
1. Parfaire d'abord votre propre éducation juive, ce qui vous donnera de l'épaisseur, des convictions solides et une démarche stable.
2. Investir de votre temps pour prendre part plus activement à la vie communautaire et peut-être même aider les autres ou prendre des initiatives dans ce domaine.
Vous pouvez prendre contact avec quelqu'un à qui vous pourrez parler en indiquant votre n° de téléphone portable à l'adresse suivante
[email protected] .
Bon rétablissement, et trouvez le chalom dans le chabath.