Certains des siddourim en usage dans les communautés « rhénanes », comme le Cha‘arê tefila du grand rabbin Joseph Bloch, formulent la berakha qui accompagne l’allumage des lumières de ‘Hanouka en ces termes : lehadliq nèr chela‘Hanouka, en un seul mot (et non : chel ‘Hanouka, en deux mots).
Selon le Chela ha-qadoch (Massékheth Tamid, Péreq nèr mitswa, 5) qui cite son père, les lumières de ‘Hanouka, contrairement à celles de Chabbath, lesquelles sont destinées également à l’éclairage et au renforcement du chalom bayith, appartiennent intégralement à la fête et à son pirsoumei nissa, raison pour laquelle ces deux mots sont accolés l’un à l’autre, comme pour mieux marquer cette différence.
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum