A
Cheela-techouva,
que je cite:
Citation:
Dans la continuité des "safek cohen" que penser d'une personne qui est "safek levy", mais cela dure depuis des générations (par exemple il n'y a pas de kéli dessiné sur le kever des arrières grands parents)
En cas de réponse positive comment se passe ce pidyon (hamotsi méh'avéro alav haréaya et là c'est un safek, non?)
Qu’entendez-vous par une réponse « positive » ?
la question était que penser d’un « safek lévi » (il n’y a pas d’options négative et positive), c’est quoi la réponse « positive » ?
Je vais aller chez Carrefour pour comprendre…
Celui qui n’a pas retrouvé de symbole d’un Kli de netilat yadayim sur les pierres tombables de ses ancêtres n’a pas à en déduire qu’il n’est pas Lévi.
D’autant que ces illustrations n’avaient pas cours dans tous les pays ni à toutes les époques.
Pour ce qui est de la Kriat hatorah, halakhiquement il est encore plus « facile » de faire confiance à celui qui se prétend Lévi qu’à celui qui se prétend Cohen.
(car il n’y aura pas d’incidence vis-à-vis de la Trouma…).
Et pour Birkat Cohanim, s’il veut absolument aller leur faire la Netilat Yadayim, c’est son problème, on s’en lave les mains.
Mais je comprends que vous parlez d’un « Safek Lévi » qui doute
lui-même, à la différence de notre cas du Cohen qui s’affirme Cohen et seuls les autres en doutent.
Et lorsque vous parlez du Pidion, je suppose que vous voulez demander s’il doit tout de même faire Pidion de son fils
(ce qu’un Lévi ne fait pas) en raison du doute, ou s’il en est dispensé
(car hamotsi me’havéro alav hareaya).
On ne peut pas parler de « motsi me’havéro », le Cohen ne lui demande rien, c’est lui qui se demande s’il doit se racheter (ou racheter son fils).
Mais il faut établir la nature du Safek, s’il n’est dû qu’à l’absence de gravures souhaitées sur la tombe d’un grand-père, cela n’invalide pas la ‘hazaka ; si son père lui a toujours dit être Lévi, en principe, c’est vrai.