A
Leowil 1:
Je cite :
Citation:
Je pense effectivement qu’il peut exister un sho’had de la religion de donner un sens à sa vie. La plupart des personnes qui se tournent vers la religion le font à la suite d’une épreuve.
« Il ne devrait pas y avoir autant d’athées ». Vous conviendrez que le nombre ne fait pas l’argument
En effet, mais il ne s’agit pas d’un argument.
Dès le départ, je vous répondais en mentionnant un Sho’had des deux côtés :
« …
sont venues s'additionner des lectures et des réflexions. [qui ont certes pu être influencées par les données de départ, mais c'est un problème de "Sho'had" qu'on retrouvera des deux côtés.] »
Ici, je ne venais que contredire ce que vous disiez, je cite : «
la volonté d'arrêter enfin ses idées vers un but bien défini représente un sho'had bien plus conséquent » (que le Sho’had des plaisirs matériels).
Ce à quoi je vous ai répondu, que s’il en était ainsi, il ne devrait pas y avoir autant d’athées.
Il semble que le Sho’had du plaisir « matériel » saisisse [ou : ait saisi -par le passé] plus facilement les esprits.
(même si le sho'had du plaisir spirituel existe lui aussi -et encore plus chez les gens intelligents)
Citation:
mais quoi qu’il en soit je précise 3 points :
1) Si vous pensez en chiffre, il y a effectivement une minorité d’athées dans le monde.
Je crois que vous vous méprenez, ce n’est pas le Sho’had de « donner un sens à sa vie » qui fait qu’il y a plus de croyants sur terre, ce n’est que leur éducation
(et il faut donc additionner plusieurs raisons, comme le Sho’had de la tranquillité, de ne pas à avoir à combattre son entourage, de ne pas réfléchir etc.).
Nous comparons ceux qui « optent » pour un mode de vie différent de celui dans lequel ils vivaient, autrement dit ceux qui font un « choix » de vie.
Sans cela, la majorité des enfants de croyants sont croyants, la majorité des enfants d’athées sont athées et la majorité des enfants de familles très pratiquantes sont très pratiquants, etc.
Parmi ceux qui ont « changé » de mode de vie (de croyant à non croyant ou l’inverse), vous trouverez plus de personnes séduites par le Sho’had des plaisirs matériels (et qui s’écarteront de la croyance) que par le Sho’had de donner un sens à sa vie (et qui se rapprocheront de la croyance). [il y a bien entendu d’autres paramètres desquels il faut aussi tenir compte.]
D'autant que pour le besoin de donner un sens à sa vie, beaucoup se contente d'autre chose que la croyance en D.ieu
(voir mon message plus haut adressé à Mortdesidees)
Ce que je veux dire c’est qu’une personne qui serait tiraillée entre deux éléments de « Sho’had », l’un étant les plaisirs matériels et le retrait du joug divin et l’autre étant le Sho’had de « donner un sens à sa vie » -la majeure partie des personnes dans ce cas optera pour le Sho’had des plaisirs matériels.
Citation:
2) Chacun sa difficulté. L’athée subit le sho’had des plaisirs matériels mais le croyant subit le sho’had de quitter les plaisirs de la religion et une certaine peur métaphysique. La plupart des croyants qui se délectent (en toute contradiction) des plaisirs matériels ont tout de même peur de remettre en question leurs croyances profondes (surtout que peu de religions prônent l'ostracisme...). Ce n’est pas un jugement mais une réalité.
Je ne crois pas avoir compris ce que vous souhaitez dire ou en tout cas je n’y vois pas d’élément nouveau. Il y a certes un Sho’had des deux côtés, nous étions d’accord sur ce point.
[Précision que je ne souhaite pas aborder pour le moment car cela nous écarterait du sujet, lorsque vous écrivez : «
La plupart des croyants qui se délectent (en toute contradiction) des plaisirs matériels… » je ne suis pas tout à fait d’accord avec vous pour y voir une contradiction ; qui vous dit que la croyance en D.ieu impose l’ascétisme ? Mais laissons ça de côté pour le moment. ]
Citation:
3) Vous ne voyez sincèrement pas ce qui empêcherait une personne d’oser remettre en cause sa propre religion (sans être intelligent) ? Sans être exhaustif : le besoin d’appartenance sociale, avoir l’impression de rompre une lignée, peur de la punition divine sur terre ou du manque de « protection », peur de l’après-mort, peur de ne plus pouvoir s’appuyer sur des certitudes, angoisse de ne plus pouvoir expliquer sa souffrance etc etc etc…
Si , Si, bien sûr, aurais-je dit que je ne vois pas le Sho’had du côté religion ? Au contraire, je l’ai souligné avant vous -dans mon message du 28 août 2019 à votre intention.
Et lorsque j’ai ajouté «
…le sho'had du plaisir spirituel existe lui aussi -et encore plus chez les gens intelligents », cela ne signifie pas qu’il ne puisse exister QUE chez les gens intelligents.
Il est plus fort chez l’intelligent qui aura tendance à porter moins d’intérêt aux plaisirs matériels, voilà tout.
Citation:
Sur notre discussion initiale :
Votre réponse me laisse sur ma faim… vous faites l’analogie entre la Création et un dessin d’une main humaine qui sont complexes et donc le fruit d’une volonté créatrice, contrairement à une tâche d’encre qui ne l’est pas. Même en acceptant la totalité de votre hypothèse, la réponse demeure incomplète…
En effet reprenons votre exemple du dessin. Que prouveraient 2 dessins ? Une volonté pour chaque dessin (il y a peut-être 2 auteurs) ? Ou même plusieurs volontés par dessin ? Donc plusieurs Dieux ?
Si c’est en cela que ma réponse vous laisse sur votre faim, c’est parfait ; je n’avais pas l’intention de répondre à cela ni aux nombreuses questions qui pourraient suivre.
Nous pourrons en parler, mais je souhaite avancer pas à pas, par étapes.
Si vous admettez qu’il y a un certain bon sens à croire en un créateur
(plutôt qu’en un monde créé par hasard), nous pourrons passer aux étapes suivantes, comme votre présente question : qui a dit qu’il n’y en a qu’un seul (etc.) ?
Mais je souhaite d’abord que nous nous mettions d’accord sur cette « 1ère étape », sans quoi on va inutilement se perdre dans une pagaille monstre.
La 1ère étape a été fixée par votre 1ère question me demandant pourquoi je crois en D.ieu et n’y aurait-il pas plus de probabilités contraires à l’existence de D.ieu
(-vous n’avez pas demandé "qui me dit qu’il n’y a pas 2 dieux?").
A cela je vous répondais qu’en matière de probabilités, je trouvais qu’il était plus facile d’imaginer un monde créé VOLONTAIREMENT que par accident.
Si nous sommes d’accord sur ce point, nous pouvons passer à un autre sujet/une autre étape/une autre question, à savoir : Qui dit qu’il n’y a pas 2 dieux (ou plus) ?
Mais ça ne sert à rien d’élargir la question avant de se mettre d’accord sur celle d’origine, car si vous pensez que le monde est le fruit d’un accident, à quoi bon pinailler sur 1 ou 2 ou 36 dieux si -pour vous- il y en a zéro ?
Citation:
Il manque beaucoup d’éléments dans votre réponse pour englober toute la conception de Dieu (qui est à l’origine de ma question) …
Vous m’en voyez désolé, mais rassurez-vous, j’en suis bien conscient.
Comme dit précédemment, je souhaite avancer par étape.
Et si c’était «
à l’origine de votre question », veuillez noter que votre question sous sa forme exprimée se bornait à cette première étape, je vous cite :
«
Comment savez-vous / pourquoi pensez-vous que Dieu existe ? N'y a-t-il pas plus de probabilités du contraire ? Ou n'y a-t-il pas une égalité ? Quel est votre opinion là-dessus ? »
Et pour bien vous indiquer que je ne répondais qu’à la question exprimée, je précisai, je me cite :
«
Mon opinion est qu'il n'y absolument pas égalité au niveau de la probabilité, mais qu'il peut y avoir d'autres "arguments" qui peuvent pousser l'homme à préférer la version improbable d'un monde créé par accident ».
Ces autres arguments font peut-être partie de la suite du développement de votre question, mais -comme dit, avançons de manière ordonnée.
Citation:
Qu’en est-il de l’unité de Dieu, de son immatérialité, de son rapport au temps, de la création ex nihilo ou de ses autres attributs auxquels vous croyez vraisemblablement, et qui rendent la totalité bien compliquée à soutenir si ce n’est en simple hypothèse ?
Nous pourrons en parler dès que nous aurons clarifié ce sur quoi nous sommes d’accord et ce sur quoi nous ne le sommes pas.
On ne va pas perdre notre temps à tenter de prouver l’unité de D.ieu ou son immatérialité s’Il n’existe pas, non ?
Avançons donc par étapes si vous le voulez bien, ainsi nous gagnerons en clarté et en efficacité.
Et cela permettra aussi de savoir clairement sur quel point nous ne sommes pas d’accord (si toutefois nous ne le sommes pas).
Citation:
Mais venons-en à l’hypothèse même de votre argument de la complexité.
Comment définissez-vous la complexité ? Est-ce arbitraire ?
Disons qu’il s’agit d’harmonie indiquant de la sagesse.
Citation:
En attendant votre réponse, admettons que le dessin et l’univers soient effectivement complexes.
Toutefois en quoi la cause de la complexité d’une chose (dessin ou autre) prouve la cause de la complexité d’une autre (l’univers) ? Comment faites-vous l’analogie ?
Si l’on décrète que l’on ne peut rien comprendre, en effet, on ne pourra rien comprendre.
Dans l’hypothèse où une personne serait peut-être folle (et consciente de sa folie), elle ne devrait pas faire confiance à ses propres réflexions, c’est bien vrai, mais c’est tout ce qu’elle a à sa disposition, hélas.
L’homme qui craint d’être fou et refuse d’utiliser les moyens dont il dispose pour réfléchir, n’arrivera certainement pas à la bonne conclusion.
Alors c’est vrai que s’il est effectivement fou, sa réflexion -elle aussi, ne l’amènera pas à bon port, mais s’il opte pour l’inertie intellectuelle
(car il craint que ses facultés soient trompeuses), il est certain de ne pas y arriver.
Il en va de même pour les doutes que vous émettez sur notre capacité à faire usage d’analogie et réflexion sur l’inconnu.
L’homme est bien forcé d’utiliser les moyens dont il dispose pour réfléchir et si rien (en vue) ne s’oppose à l’analogie, il doit logiquement l’accepter.
Citation:
Ont-elles exactement les mêmes caractéristiques pour que si l’une provient d’une volonté, l’autre aussi ? Je peux donc extrapoler dans tous les sens l’analogie entre le dessin et l’apparition de l’univers ?! C’est invraisemblable.
En quoi cela le serait-il ?
L’analogie se borne à ceci : dans tout ce qu’on connait, on ne voit rien d’harmonieux/intelligent/complexe qui serait le produit d’un accident.
Une production dénuée de volonté/de créateur ne présente jamais de signes d’intelligence.
Dès lors, constatant que la nature présente [plus que] des signes d’extrême intelligence, on est tenté de dire qu’il y a une volonté derrière.
Citation:
Comme différences nous pouvons trouver par exemple :
- Le dessin est une transformation et non pas une création ex nihilo !
Je vois bien la différence, mais elle abonde dans le sens inverse !
Si pour une simple transformation de matière déjà existante
(comme un papier et de l’encre qui ont formé un beau dessin) il est évident qu’il y a une « volonté créatrice », a fortiori pour une véritable création à partir du néant
(où il faudrait aussi créer le papier et l’encre en plus de la beauté du dessin) et qui pourtant donne aussi un magnifique dessin !
Si vous avez pu imaginer un instant que la création ex nihilo serait une explication à l’intelligence et la beauté du dessin qui apparaîtrait, c’est certainement parce que vous êtes habitué à penser la nature intelligente, cette nature « qui fait bien les choses » dont je parlais plus haut, mais en réalité, votre nature, c’est D.ieu (ou bien c’est une « nature consciente et pensante », ça revient au même).
Citation:
- L’univers est organique, et aussi complexe qu’il soit, il sera toujours différent des créations humaines qui ne le sont pas (vélo, table…), ce qui disqualifie l’analogie.
Là encore, bis repetita, à plus forte raison !!
Créer la vie est encore plus époustouflant que créer un dessin, si l’un des deux devait être le fruit d’un hasard et d’un accident, j’opterai sans hésiter pour le dessin.
Et là aussi, je crois que votre habitude à voir la nature comme intelligente vous permet ces raisonnements.
Il est vrai qu’on est « habitué » à voir la nature produire la vie, des fruits, des animaux, des bébés, mais l’aspect organique est -à y réfléchir- un paramètre accentuant le raisonnement basé sur la simple analogie, ce n’est pas seulement « aussi évident » que pour un dessin, ça l’est encore plus !
Citation:
- Notre connaissance des créations humaines est empirique (j’associe forcément le dessin à un auteur) contrairement à l’apparition de l’Univers que nous n’avons jamais pu constater.
Comme je l’écrivais plus haut, «
l’homme est bien forcé d’utiliser les moyens dont il dispose pour réfléchir et si rien (en vue) ne s’oppose à l’analogie, il doit logiquement l’accepter ».
Certes, nous ne connaissons pas et ne rencontrons pas souvent « l’univers », ni « l’infini », ni des « dieux », ni « l’immatérialité » etc. mais en décidant pour cela que ces inconnus relèvent de règles et de logique différentes des nôtres et que notre cerveau ne peut de toute façon pas les comprendre (etc.), nous n’irons pas très loin.
Soit on se dit qu’on n’a pas les moyens de réfléchir et on s’en abstient et ça s’arrête-là, soit on décide de faire « avec les moyens du bord », à savoir notre raisonnement et notre logique tant que rien ne semble nous convaincre de leur incompatibilité avec la matière analysée.
Donc même si on n’a jamais pu constater l’apparition de l’univers, tant qu’il n’y a pas un élément qui nous indique une différence, on se base sur ce qu’on connait.
C’est ce que font tous les physiciens parlant du Big Bang, ils utilisent la logique basée sur les constations de choses que l’on côtoie, c’est tout ce qu’on peut faire, l’autre option consiste à ne plus cogiter, comme le font très bien les animaux.
[On peut aussi paralyser toute réflexion en se disant : puisqu’il y a objectivement un Sho’had des deux côtés, les pistes sont donc brouillées et on ne peut pas distinguer le vrai du faux, donc il ne sert à rien d’y réfléchir…
Je crois plutôt que la tendance à « paralyser » ainsi la réflexion relève elle aussi d’un Sho’had …]
Citation:
Enfin, le hasard n’implique pas forcément le chaos. Il peut aussi y avoir de la complexité et même de la beauté comme certain aspects de l'univers à nos yeux.
Remarquez que vous utilisez votre prémisse pour prouver votre conclusion ; s’il y a de la beauté/de l’intelligence dans certains aspects de l’univers, cela ne prouve pas que le hasard puisse produire des choses intelligentes -tant qu’on n’aura pas prouvé que l’univers serait le fruit du hasard.
En se posant justement la question sur l’univers, ma réflexion est que nous ne connaissons rien qui soit formé intelligemment par le hasard.
Tout ce que nous pouvons trouver de beau, d’intelligent, de merveilleux dans la nature (/dans l’univers) est donc justement un indice qu’il y a eu une volonté derrière tout cela.
Citation:
C’en est peut-être ainsi de ce qui est organique qui peut être complexe sans nous informer sur une quelconque volonté.
Comme dit plus haut, si vous baissez les bras avec des «
c’en est peut-être ainsi de ce qui est organique » et décidez qu’on ne peut pas utiliser la logique, le bon sens et l’analogie sous prétexte que c’est «
peut-être différent », vous barrez la route à toute réflexion et vous vous condamnez à abandonner toute recherche.
Se lancer dans des suppositions illogiques en se disant que ce « monde » inconnu est peut-être illogique, ne permet que de nous condamner à ne plus pouvoir réfléchir.
Notez qu’aucun scientifique
(même athée) n’opte pour cette voie qui paralyse toute pensée.
S’il y a un argument qui nous convainc que pour le monde organique et la vie c’est différent et ça peut apparaître d’un accident et par hasard, d’accord, mais ce n’est pas le cas. Rien ne nous en convainc, bien au contraire.
Citation:
La présence de cette « complexité » ne prouve donc qu’une chose : que le monde a pu en arriver là. La suite n’est que spéculations sans probabilités supérieures, ni dans un sens, ni dans l'autre.
Avec ce type de raisonnement, vous pourriez aussi dire que les Moaï
(ces statues géantes sur l’île de Pâques) se sont créées toutes seules
(=sans volonté) lors d’une éruption volcanique ou d’un tremblement de terre
(ou d’un éternuement bruyant), car on n’a jamais vu pareille œuvre ailleurs.
Et si vous êtes tenté de répondre qu’elles sont en tout point similaires à d’autres statues, je vous dirais qu’il y a pourtant des différences et des particularités propres à ces statues.
Ou si vous préférez, prenons un autre exemple plus facile à comprendre, parlons d’un dessin (ou d’une gravure) trouvé(e) sur une matière inconnue, une nouvelle sorte de roche ou de papier, disons sur de la kryptonite
:)
Allez-vous dire qu’il n’y a pas de volonté créatrice derrière ce dessin/cette gravure puisqu’on ne peut pas comparer ni faire d’analogie entre ce que l’on connait et cet élément inconnu, et «
C’en est peut-être ainsi de ce qui est kryptonite qui peut être complexe sans nous informer sur une quelconque volonté » ?
Diriez-vous aussi : «
La présence de cette complexité ne prouve donc qu’une chose : que ce dessin existe. La suite n’est que spéculations sans probabilités supérieures, ni dans un sens, ni dans l'autre » ???
Allons donc ! Même si le sujet est inconnu, qu’on n’a aucune idée de la nature de cette kryptonite, personne n’irait imaginer que le dessin complexe gravé dessus serait le fruit du hasard suite à une chute vertigineuse de cette pierre qui se serait heurtée à de multiples reprises avant d’arriver au sol, si bien que ces heurts auraient façonné sa face de la sorte.
Car le fait que l’élément nous soit inconnu ne nous CONVAINC pas de nous écarter de l’analogie sensée basée sur ce qu’on l’on connait
(tant qu’il n’y a pas de quoi nous convaincre que ça serait incomparable à ce niveau).
Citation:
Pouvez- vous alors s’il vous plaît développer (plus précisément) étape par étape le raisonnement qui conduit à votre conception de l’existence de Dieu ou m'expliquer ce que je n'ai pas saisi ?
Voilà, j’ai essayé de reprendre et présenter sous différentes coutures cette idée, en précisant bien qu’elle ne traite que de la fameuse 1ère étape.
Il reste des questions, dont celle que vous avez soulevée et qui a aussi été posée par
Davidlebg (=qui dit qu’il n’y a pas 2 dieux ?), nous pourrons tenter d’y réfléchir si jamais nous étions d’accord sur ce qui est dit jusque-là, mais veuillez considérer cela comme étant un autre pan de votre question et réfléchissons d’abord à cette « 1ère étape ».
PS: Je ne prends pas le temps de me relire, veuillez excuser les fautes. Merci.