Si on se salit le doigt avec du chocolat par exemple, ou tout autre aliment type sauce, si on goûte la dite sauce, faut-il dire une Brakhah Richonah (par rapport à la quantité négligeable goûtée) ?
Le Choulh'an Arouh' (chapitre 210) écrit que si on goûte d'un plat dans l'intention de savoir s'il est assez assaisonné, ce n'est pas nécessaire de réciter une bénédiction sauf si on en mange une certaine quantité.
Ceci dit, étant donné que certains Décisionnaires ne sont pas d'accord et disent que même dans un cas où on mange dans l'intention de goûter du plat, une bénédiction doit être récitée, le conseil donné est de goûter en ayant l'intention de profiter du bon goût de cette chose.
Dans votre cas ayez l'intention de profiter du bon goût du chocolat et alors vous pouvez sans problème avoir le mérite de réciter une Béraha de Chéakol.
La première bénédiction (contrairement à la dernière) doit être récitée même sur des petites quantités dès lors que les papilles gustatives vous en transmettent un profit.
En tous cas, c'était une très belle question. Kol hakavod!
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