On ne trouve dans le Tenakh que peu de manifestations d’amitié. Ce sont essentiellement celle de David et Jonathan (I Samuel 20), celle de David et Barzilaï (II Samuel 19, 32 à 40) et celle de Ruth et de Naomi.
« Tout amour qui est dépendant de quelque chose, si cette chose disparaît, disparaît également l’amour […] Quel est l’amour qui ne dépend pas de quelque chose ? C’est celui de David et Jonathan » (Avoth 5, 16).
Et Bartenoura de citer en exemple l’amitié qui unit les justes et les sages : De même que ce qui les unit ne disparaît jamais, de même en est-il de leur amitié.
Les exemples de cette amitié entre David et Jonathan ne manquent pas. Il suffit de lire le premier livre de Samuel à partir du chapitre 18 jusqu’à la fin du premier chapitre du second livre.
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