Interdit concernant OTO MAKOM

Si c'est la position de "rabanim importants" comme vous l'avez entendu, mon avis n'a plus tellement de valeur face au leur, mais comme il en a peut-être face au leurre, je dirais que je ne cautionne pas cette opinion.

Je ne vais pas vous servir le discours moralisateur rappelant qu'il faut vivre bikdousha vetahara et que ce type de heitérim ne mènent pas à la félicité, mais je vous dirais tout de même qu'à mon sens, l'analyse de ce qui a poussé les 'hazal à porter un jugement négatif sur cet acte, concerne aussi ce dont vous parlez.
Voilà pourquoi je répondrais à votre question en penchant pour la 'houmra.

Toutefois, je vous précise que si c'est "nécessaire", il faut savoir qu'il n'y a pas de réel issour derabanan, malgré le langage du Rav Yossef Karo à ce sujet, il semblerait qu'il ne s'agisse que d'une midat 'hassidout (et donc permissible "en cas de besoin").

Pour ne pas me faire incendier par un lecteur qui aurait compris précisément le sujet -malgré mes phrases assez obscures et mon ton quelque peu énigmatique voulu, j'indiquerais le Shout Birkat Yehouda (V, E"H, Hossafot au siman 5 -page 230)

Bonsoir Rav,

Qui a écrit ce shout ? est-ce le rav arieh leib brown ? car le shout disponible sur hebrewbooks ne comporte que 143 pages (et vous citez la page 230...)

http://www.hebrewbooks.org/40797

Merci kol touv

Merci pour votre reponse
Il n'y a pas de issour peut etre mais les 'promesses' prevues pour ceux qui se comportent ainsi (concernant les enfants) ont de quoi faire froid dans le dos.

A Ilhanco :


Effectivement.

A Cheela-techouva :



Non, je parlais du Shout Birkat Yehouda de Rav Yehouda Brakha.
Dans celui que vous indiquez, il n'y a pas non plus de tome V (avant de manquer de page 230).