Tout dépend de la maturité de l'enfant. Mais ce qui est clair, c'est de renforcer laémouna,c'est-à-dire de montrer que l'on peut croire en Hachemmêmes'il arrive qu'Il nous envoie des évènements que l'on ne comprend pas.
D'abord le faire parler: Qu'est-ce qui te préoccupe ? Où est Hachem ? Il est partout, et parfois ce n'est que longtemps après que l'on arrive un peu à comprendre. Parfois c'est pour tester notre Émouna. C'est comme laAkédat Itshak,ou comme la mort de Rabbi Akiba, qui a dit: «Aimer Hachem de toute son âme.»
Je crois qu'en se rapportant, comme référence à des passages de nos Guedolim qui ont surmontés de épreuves de Émouna, en les prenant comme exemples, on arrivera à leur donner une force dans leur Émouna pour toute leur vie.
L'ouvrage de la Rabbanit Davidovicia"hou celui de la Rabbanit Jungreis, sur"Survivre après la Shoah"sont des ouvrages à adapter à la compréhension de l'enfant.
Il y a un ouvrage de Rav Hayim Friedlanderza"l: "Comment voir la Providence"qui peut aussi aider.
On peut ajouter: Turnus Rufus a demandé à Rabbi Akiba:
«Si votre D. aime les pauvres, pourquoi ne les nourrit-Il pas ?»
«C'est pour nous donner ànousdu mérite.» [B.B. 10a]
Donc il ne faut pas demander: Pourquoi lui... Il a fait cela...
Mais: Que pouvons-nous faire pour consoler les endeuillés. Notre devoir, pas le Sien.
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