Cet usage est rapporté, au nom du Arizal, par le Michna beroura (92, 36). Il prendrait sa source dans le verset : « Moi, je verrai ta face en justice quand je serai réveillé, je serai rassasié de ton image » (Psaumes 17, 15).
Dans certaines communautés, on donne trois pièces de monnaie : deux pour l’entretien du culte, et une pour les pauvres.
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