Voici quelques-unes des raisons de cette attitude :
– Par référence au verset : « Tous mes os diront : Hachem ! qui est comme toi, qui délivres l’affligé de celui qui est plus fort que lui, et l’affligé et le pauvre de celui qui les pille ? » (Psaumes 35, 10 – Voir Rema adChoul‘han ‘aroukhOra‘h ‘hayim 48, 1).
– Par référence au verset : « Mon alliance avec lui était la vie et la paix, et Je les lui ai données pour qu’il craignît ; et il Me craignit et trembla devant Mon Nom » (Malachie 2, 5).
– Certaines personnes réservent leur balancement à l’étude de la Tora, car celle-ci a été donnée dans le tremblement (voir Chemoth 20, 15 – Voir Rema ibid.).
– Selon une opinion rapportée dans Berakhoth 28b, il est recommandé de se prosterner pendant la prière jusqu’à ce que toutes ses vertèbres se dissocient les unes des autres.
– On a également relié le balancement pendant la prière aux deux éléments fondamentaux du service divin : la crainte et l’amour de Hachem. Ce balancement serait une manifestation extérieure de ces deux éléments, l’inclinaison vers l’avant exprimant l’amour, et le retrait vers l’arrière manifestant la crainte.
– Selon une expression employée dans Ha-ketav weha-qabala (Wayiqra 23, 2) par rabbi Ya‘aqov Tsewi Mecklenbourg, a‘hrei ha-pe‘ouloth nimchakhoth ha-levavoth (« les cœurs suivent les mouvements [du corps] »). Cette formule est souvent utilisée par ceux qui considèrent que le balancement pendant la prière favorise la concentration.
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