Citation:
1ere précision
Citation:
"Je suis en train de préparer un gigantesque shiour sur toutes les étapes de la transmission de la Torah depuis matan Torah jusqu'aujourd'hui en passant par: Zougot, tanaïm, mishna, amoraim, gmara, savoraim, gueonim, rishonim, gdolei haposkim, a'haronim et rashei yeshivot.
Mon propos se borne uniquement à remarquer que ce point ne s'inscrivait pas dans la thématique générale de la veillée. Rien de plus.
Oui, vous avez raison, mais lisez la ligne suivante aussi, j’y écrivais :
Je suis en train de préparer un gigantesque shiour sur toutes les étapes de la transmission de la Torah depuis matan Torah jusqu'aujourd'hui en passant par: Zougot, tanaïm, mishna, amoraim, gmara, savoraim, gueonim, rishonim, gdolei haposkim, a'haronim et rashei yeshivot.
Le tout en y mêlant plein de souguiot, l'histoire des grandes figures de chaque époque, leurs shitot et les sfarim incontournables.
Je sais que l’histoire des grandes figures et les souguiot ajoutées n’apportent presque rien à « la vision claire de l’historique de la halakha », mais ce sont des ajouts instructifs qui permettent de mieux cerner la vie des tsadikim et leur hashkafa.
Vous pourriez aussi remarquer que le point précédant celui-ci, le n°38 (
Le testament de rabbi Yehouda ‘Hassid et le problème du prénom commun au beau père et au gendre) n’a rien à voir avec le thème, c’est vrai.
Je n’en ai parlé que du fait que l’occasion se présentait et que je trouve bon de gagner cette information au passage.
Si déjà, vous devriez vous insurger contre le fait que j’aie longuement parlé des différentes explications autour de la question de l’absence de mention explicite du Olam Haba dans le ‘houmash, ce n’est pas vraiment lié au thème de la veillée ça non plus et pourtant j’en ai fait tout un sujet.
Je sais, mea culpa, mais j’estime qu’il est important d’appuyer sur certains points, lorsqu’ils se présentent, même si ce n’est pas « le » sujet du jour.
Tout ce qui peut contribuer à la hashkafa et à la yirat shamayim me semble être important, il y a certains sujets qui sont toujours abordés, d’autres beaucoup moins, ces derniers me semblent « prioritaires » lorsqu’on peut en traiter –même brièvement.
Je cite:
Citation:
Mon propos se borne uniquement à remarquer que ce point ne s'inscrivait pas dans la thématique générale de la veillée. Rien de plus.
Ok.
Excusez-moi, j’avais cru comprendre qu’il y avait « un peu plus » tout de même, lorsque vous écriviez :
j'ai senti comme un gout de voyeurisme.
J’avais compris que vous vouliez dire que vous ne vous borniez pas uniquement à remarquer que ce point ne s’inscrivait pas dans la thématique générale de la veillée, mais plus encore, qu’il y avait aussi une question sur le bien fondé de citer de telles informations (même dans l'hypothèse où elles ne s’écarteraient pas du cadre du thème), voilà pourquoi je vous expliquais que selon moi ce point constitue une information enrichissante pour la hashkafa.
Mais si je me suis trompé et que vous ne vouliez rien soulever de plus que le fait que ce n’était pas indispensable au sujet de la veillée, oui, vous avez raison, ce n’était pas indispensable, juste bénéfique.
Citation:
Par quel truchement vous arrivez à dire que je ne partagerais pas l'avis du Tana Rabbi Yossi alors que c'est précisément ce que je dis ?
Je vais vous l’expliquer, c’est très simple :
ce que vous dites correspond en effet à la pensée de Rabbi Yossi, mais vous ne vous contentez pas de le dire, vous dites aussi qu’il n’est pas nécessaire de le dire/de l’enseigner.
Vous vous demandez à quoi bon expliquer ce que j’ai expliqué puisque –je vous cite : «
Sérieusement, qui peut croire naïvement que le niveau de croyance en D ieu et la pratique des mitsvot sont transmis automatiquement aux enfants par le père aussi grand soit il ? »
Voilà pourquoi je vous disais que je n’étais pas le seul à considérer qu’il peut y avoir des juifs qui s’imaginent que le fils du rabbin « hérite » la Torah de son père, puisque Rabbi Yossi vient lui aussi mettre en garde contre cette erreur.
Vous précisez «
Je dis simplement qu'il n'est pas nécessaire d'en remettre une couche avec détails croustillants »
Ce à quoi je vous ai répondu qu’en remettre une couche est toujours bon selon moi
(tant que ce n’est pas clair pour tous) et quant aux «
détails croustillants », j’ai peur de devoir comprendre de nouveau ce que j’avais cru comprendre lorsque vous écriviez «
j'ai senti comme un gout de voyeurisme»…
Je vous ai expliqué que je considère important de montrer que certains des enfants de tsadikim se soient égarés, plus encore que de montrer que des enfants d’amei haarets soient devenus des grands de la Torah, afin de parer aux explications basées sur les capacités surnaturelles que l’on prête volontiers à ces enfants qui seraient devenus des grands uniquement par la grâce de D.ieu.
Je note bien que vous n’êtes pas d’accord avec moi là-dessus, mais que voulez-vous que je fasse ?
Ok, j’ai compris que vous ne partagez pas cette vision, que vous pensez que j’ai tort, que j’aurais dû taire ces informations, faire comme si tous les enfants des tsadikim avaient toujours tous été des tsadikim à leur tour
(sans craindre que des juifs s’imaginent que la Torah se passe en héritage car « qui pourrait le croire naïvement ? »), mais il se trouve que je ne suis pas de votre avis, qu’y puis-je ?
On ne peut pas tous être d’accord sur tout, je ne vous nie pas le droit d’être en désaccord avec moi là-dessus, accordez-m’en autant.
1/60 de ce que j’ai dit nous sépare, ce n’est pas grand-chose, n’en faisons pas une maladie, nous sommes liés par 59/60
:)