Bonjour
Assurément l'habitation de la terre est conditionnée.
Au sujet du sionisme, peut être ceci, non pas sionisme mais sionismes.
Pluriel, soit au moins deux.
Au moins deux, cela ce lit à la « première » lettre.
Toujours au moins deux, ici en matière de sionisme, comme ailleurs, sauf évidement « HM »...
J'écris HM en SMS cela s'entend en français et donc en hébreu.
Cela s'entend, c'est de l'oral.
De la même manière SMS en auvergnat c'est comme le soleil en hébreu.
Lumineux et din.
Voici la source qui me permet d'établir cela :
« ...l'hébreu étant la seule et unique Langue Sacrée, toutes les autres étant profanes... »P70
Dit comme cela, l'affaire semble claire.
Une langues « sacrée », les autres non.
Or plus loin, ceci :
« La troisième consiste à s'exercer à fondre toutes les langues dans la Langue sacrée, jusqu'à ce que chaque mot que le locuteur prononcera dans sa bouche et sur ses lèvres soit conçu par lui comme étant composé des lettres sacrées, qui sont les 22 lettres de l'alphabet hébraïque.
Qu'il le retourne et le renverse en tout sens tant et si bien qu'il en tire quelque chose de semblable au beurre qui sort du lait baratté. » P 87
Là il y a risque de faire fondre le neurone avec la langue.
Avec ce beurre là il y a de quoi écrire de sacrées tartines...
C'est particulièrement décapant et extrêmement drôle, afin cela m'amuse beaucoup.
Il s'agit d'extraits de « L'épitre des sept voies », Abraham Aboulafia édition de l'éclat.
Une autre histoire aussi drôle, car bien sur il convient d'en citer deux, est à mes yeux celle des petits chiens dans l'urine rapportée par Nahmanide dans « La lettre sur la sainteté ».
Voilà au moins vingt ans que je relis périodiquement ces passages et même prévenu cela me fait toujours rire.
Je ne serais pas surpris d'apprendre un jour que c'est en pensant à ce genre de propositions qu'Abraham à nommé son fils.
Au moins deux sionismes, au moins deux. Au moins, entendre que chacun pourrait se subdiviser à son tour en de multiples nuances.
C'est un système arborescent..
_au cours de l'exil est maintenu le désir du retour...
_au dix neuvième siècle, le sionisme Hertzl...
Le second n'aurait aucun sens si le premier ne s'était pas maintenu.
Autrement dit l'on peut mesurer en tout sens la distance ou les nuances qui séparent l'un de l'autre, reste irréductible fait, que l'un est cause et l'autre effet.
Si pas cause, pas effet.
Si l'on se souvient qu'il y a aussi au moins deux « messies », il n'y a rien d'extraordinaire à trouver deux sionismes.
Un de Joseph ; à priori le sionisme Herzl serait probablement à penser originairement de ce côté là.
Un de David, ; là où de Joseph rencontre ses limites.
En termes d'accouchement, de Joseph serait dilatation et de David contraction.
L'habitation est conditionné au fait qu'il y ai des habitants, d'où étude et pratique de Thora , autrement dit vigilance quand à ce qui entre ou sort du ventres des femmes et/ou … d' Egypte.
Pour faire bonne mesure il y a aussi au moins deux protagonistes, les juifs et les goymes.
Selon le point de vu de l'un des deux.
La plupart du temps le goy ne sait même pas qu'il est goy ; mais si besoin est, il peut savoir qu'il n'est pas juif.
Goy c'est pas vraiment flatteur comme dénomination, ça manque d'âmes, c'est pas vraiment bien fini, c'est un peu rustique, un peu fruste, quasi bestial.
A moins d'avoir l'œil particulièrement bien aiguisé au point de distinguer une âme, il n'est pas toujours évident de distinguer dans la rue un juif d'un goy, sauf si le juif est habillé en juif.
S'il n'y avait que des juifs, les juifs pourrait s'habiller en goy, bien sur dans les limites de la décence.
Si le juif et le goy ne sont pas vêtus, l'on doit pouvoir distinguer, sauf si le juif est une juive.
L'on peut se représenter le processus de distinction à l'aide d'un schéma semblable à celui utilisé par la vulgarisation darwinienne.
Au début il y a le caillou, puis le cactus, puis la panthère mouchetée, puis le goy, puis le juif, puis l'israélien, puis le Mashia, puis le Diamant.
Cela bien sur ne se fait pas tout seul, ni en un jour.
Sept étapes pour aller du caillou au Mashia, plus une pour le Diamant.
Notons que le goy dans la série est un peu une anomalie, caillou, cactus, panthère, juif , israélien , mashia c'est cohérent, c'est logique.
Goy pas vraiment cela relève d'une autre fonction, cela sert à plier, c'est une sorte de charnière. Fin de la note.
Le caillou c'est du charbon, pour aller du charbon au Diamant, il faut mettre la pression.
Celui qui met la pression c'est le barman, le bar man est de l'autre côté du bar.
Revenons sur terre.
Le sionisme ne serait pas basé sur la Thora ?
Sur quoi alors ? Le catalogue de la redoute ? Les milles et une nuits (soit dit en passant, beau texte aussi) ? Le guide du routard ?
La formulation « pas basé sur » conduit à une impasse, on peut en sortir par là : pas de Thora, pas de sionisme.
Ce qui n'implique pas que le sionisme soit tout l'accomplissement de la Thora, ni tout accomplissement de la Thora.
Le « judaïsme » non plus d'ailleurs, qu'il soit entendu comme mouvement national, culturel, religieux, ethnique, etc etc
Si on enlève le « isme » à judaïsme cela va un peu mieux ou alors il faudrait peut être rajouter « isme » à Thora : thoraïsme.
Entendu que le thoraïsme serait la pratique des thoraïstes, à savoir de ceux qui conforment leur existence au texte Thora. Restrictif mais clair.
Aboulafia propose, dans le texte que je citais ci dessus « sept voies » pour « thoraïser » droit.
Il y avait aussi sept peuples sur « la terre de la promesse », soit sept manière d'habiter cette terre plus une. Soixante dix langues plus une, relire ce qui est écrit ci dessus.
70+1=2
Tout cela est transparent comme les sept doigts de la main.
Ainsi.
Cinq doigt cela fait cinq.
Le pouce compte deux fois. Cela fait six.
L'ensemble des doigts compte une fois cela fait sept.
En détails.
Quatre doigts ont trois phalanges cela fait 12.
Le pouce en a deux cela fait 14.
Le pouce compte deux fois cela fait 16.
Chaque doigt compte une fois cela fait 21.
Une fois à droite une fois à gauche cela fait 42.
A gauche et à droite de quoi ? De qui, ou si vous préférez de la tête.
Comme lorsque à l'injonction « Haut les mains! » l'une viendrait d'un côté de la tête et l'autre, de l'autre côté.
A l'image de la représentation du Ka en Égypte antique.
21 à droite 21 à gauche et au milieu, tête/qui.
Le tout à venir.
Soit, une sorte de corps lettre entièrement visible , c'est hallucinant un système pareil.
Mnémotechnique redoutable. Cela tient des poupées russes et des fractales.
Et la terre ?
Dans la terre il y a le son « tse », qui fait bon poids et bonne mesure, ceci est particulièrement important.
Le tse, ça balance, voir le hiéroglyphe U 39.
Voir aussi le « dieu » égyptien Geb, auquel soit dit en passant, écrit ainsi, il ne manque que le L pour faire glèbe, mais cela est une autre histoire.
Pour notre propos, portant sur le mérite, il suffit de chercher une représentation la plus simplement appareillée de Geb tout en gardant un oeil sur le U39.
C'est le secret de la mouche Tsé Tsé, un pour la terre, un pour la balance.
Cela en français peut se traduire : « Le juste est le fondement du monde ».
Malheureusement le français n'est qu'une langue approximative...
Pour conclure voici une bonne nouvelle.
Extrait de la revue science et vie, Juin 2009.
Le diamant prolonge la vie des processeurs.
Toujours plus petits et composés d'un nombre croissant de composants électroniques, les processeurs chauffent beaucoup.
La chaleur est d'ordinaire évacuée via des plaques de métal.
Mais si ces plaques chauffent trop, elles se dilatent exagérément et peuvent endommager les processeurs.
En incorporant de la poudre de diamant dans le cuivre des plaques, on obtient un matériau conduisant 1,5 fois mieux la chaleur et se dilatant peu.
Les processeurs voient leur durée de vie augmentée.
Israel ou le concept des mesures , voilà .