Téléchargement et gravage de CD

KVOD ARABANIME

j'aimerai avoir les psakims clairs des rabanim de notre generation en ce qui concerne le gravage de cd (auteur juif et/ou goy) ainsi que le telechargement car j enten des reponses a gauche et a droite mais concretement je ne sais pas quoi faire

y a t ils des Mékilim si oui qui ? dans quel circonstances ?

En France la question ne se pose quasiment pas car "Dina Démalh'outa Dina"! et vu la Loi on ne peut plus explicite......
Certains s'appuient sur le fait qu'un Tnaï (une condition) qui n'est pas Kafoul (double sens) n'est pas un vrai Tnaï, d'aprés cet avis, tous les CD ne comportant pas de Tnaï Kafoul (attention de plus en plus en comportent) explicite dessus, pourait etre autorisé à la copie!

Mais si vous voulez un conseil essayez la musique achetée, elle à réelement un autre gout...

KVOD ARABANIME

j'ai entendu plusieurs opinions sur le téléchargement et j'ai lu des réponses sur ce site qui ne mon pas plus j’espère avoir une meilleur réponse si possible qui me convaincrait d'avantage. tout d'abord j'ai plusieurs questions étant donne que le piratage n'est qu'une copie de fichier peut on appelle cela du vol ou n'est ce tout simplement qu'un manque a gagne. Deuxièmement peut ton place un copiright sur un projet toraiquement parlant si oui veuillez me citez la source s'il vous plait. troisièmement en admettant q'un copiright soit possible ou qu'une vente a condition soit envisageable y a t'il une limite d'une vente contenant des clause conditionnelle comme celle du téléchargement limittant l'utilisation. merci de me rapporte le plus de source si possible

merci d'avance

Il faut poser la question aux rabanim la c'est le forum des internautes. Kol touv

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Bonjour,
Bien que n'étant pas Rav, je tente une réponse.
La question a été posée il me semble au Rav Kohn de Bné Brak (anciennement de Marseille) lors de l'excellente Yéshiva d'été du Rav Temstet à Bné Brak il y a 4 ans.
(je n'ai pas assisté au chiour mais il m'a été rapporté par un autre ba'hour)
Il aurait donc répondu que le téléchargement (illégal, ça va s'en dire) est interdit min hatorah michoum guezel.
Fin de la réponse du Rav.
Plus tard, j'ai étudié (je ne me souviens plus de la source désolé) que l'étendue de l'interdiction du vol dans la torah dépasse de loin le simple vol matériel ou la simple violation de la propriété intellectuelle.
En effet il serait même interdit de voler des sentiments.
Exemple: c'est le mariage de mon fils. J'ai toutes les bonnes raison du monde de ne pas inviter telle personne compte tenu du manque de respect dont cette personne m'a affligé. Le problème c'est qu'en ne l'invitant pas, je risque de froisser mes relations avec sa famille contre qui je n'ai absolument rien. Fort heureusement, je sais qu'il ne pourra pas être présent au mariage de mon fils puisqu'il sera au mariage de sa fille. Je n'ai pas le droit d'après la Torah de lui voler ses sentiments en lui faisant croire que je souhaiterais qu'il soit présent en lui envoyant un faire part. Je ne souhaite pas l'inviter, donc je ne l'invite pas.
Par ailleurs, j'ai lu il y a quelques années dans le coin de la halakha de la sidra de la semaine, publié par le Beth Louvavitch il y a quelques années (je ne sais pas quel numéro) que tricher à un examen constituait une transgression de l'interdiction de voler d'après la torah, car il s'agit de voler des connaissances qui ne sont pas nôtres.
En d'autres termes, voler revient d'après la torah à s'approprier ce qui ne nous revient pas, c'est à dire ce qui ne nous a pas été destiné par Ha-chem.
J'ajouterais que j'ai entendu la Rav Yéhia Benchétrit affirmer lors d'une conférence que voler un goy était assour min hatorah au même titre que voler un juif.
Enfin, il est écrit dans l'avant propos (Hakdamat Hamelaket) du Hadmour Hazaken (également auteur du Choul'han 'Aroukh Harav) toute l'estime qu'il porte aux imprimeurs et éditeur de son Tanya et toute l'aversion qu'il porte à ceux qui produisent des copies illégales.
Il me semble que cette halakha est rapportée explicitement dans le Choul'han Aroukh de Rabbi Yossef Karo.
Il est vrai que le Rambam tranche dans Hilkhot Talmud Torah qu'il est interdit d'enseigner la Torah contre rémunération. Il faut croire que la vente de sifrei Kodech n'est pas incluse dans cette interdiction, ce qui peut se comprendre: enseigner la Torah est une mitswa donc un ordre d'Hachem. La publication d'un livre, est une entreprise coûteuse et risquée qui permettra à terme une meilleur diffusion de la Torah. Pour illustration, le Hafets Haïm allait lui même de ville en ville pour vendre ses livres et le Ben Ich Haï à envoyé certains de ses élèves en Israël car il tenait à ce que ses sefarims soient imprimés en Erets Hakodech.
Voilà, j'espère avoir pu répondre à la question. Je m'excuse de mon imprécision sur mes sources.
Chabbat Chalom.

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Rav éliachiv interdit, mais les autres c?est assez compliquer de détailler les conditions
Pour autoriser ....

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A Yd93 et aux autres:
Soyez bien conscients qu'en écrivant sur le forum, vous ne posez pas vraiment votre questions aux "répondeurs" du site mais aux internautes.

Je viens de voir ce post, je n'ai pas le temps maintenant, mais je vous conseille ce lien: http://www.techouvot.com/copier_un_cd-vt13337.html?
pour comprendre la logique des meikilim.