Sur quels critères base-t-on la séparation homme/femme lors d'un repas, d'une séouda ou de toute autre activité non "religieuse" ?
Dans quelle mesure cette mixité peut-elle être acceptée lors d'une séoudat-mitsva (ex. brit, houppa, bar mitsva, etc.).
L'origine en est la Sim'hath Beth-Hachoévah (qui avait lieu dans le Temple de Jérusalem) évoquée dans la Gemara Soukah, où l'on craint que lors d'une réjouissance l'atmosphère n'entraîne une forme de légèreté.
je remercie le Rav Wolff de sa réponse, mais ma question est plus halakhique; sachant l'origine de cet interdit, on en tire des conséquences essentiellement pour les lieux de cultes, ou au moment d'une tfila. qu'en est il exactement des autres activités (repas, conférences...) et quel est le minimum admis par les decisionnaires et quelles sont les differentes houmrots pouvant exister (ex: parler avec une femme, voir une femme danser ou l'inverse, ecouter la voix ou le chant d'une femme, prendre un repas ensemble...) merci d'avance
1. La citation de Rav Wolf n'était pas limitative. Nos sources ne mentionnent pas uniquement la séparation hommes/femmes au beth hamikdache mais également hors lieux de culte, lors de mariages et même - enterrements.
2. En conséquence, elle doit être, par principe, évitée pour tout rassemblement, et plus encore lorsqu'il s'agit d'un rassemblement festif. Consultez votre Rav pour les modalités d'applications en cas de difficultés techniques (salle) ou humaines.
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