J'ai remarqué une parenté orthographique entre CHEoL et CHEeLa, ce qui semble indiquer que ces deux mots découlent d'un concept commun. Quel est ce concept? Quelles en sont les applications et implications morales?
Le mot cheol se trouve à plusieurs reprises dans la Tanakh, mais il ne comporte jamais aucune connotation qui suggère l’idée d’une « demande », de sorte que l’on peut douter qu’il existe une parenté étymologique entre ce mot et cheèla.
Ibn Ezra (adBerèchith 37, 35) tient pour erroné le lien que certains établissent entre ce mot et le gueihinnom. Selon lui, cheol signifie simplement le tombeau.
Ai-je sous-entendu une telle chose?!
Je pensais par exemple à un "lieu" où tout n'est que question, sans réponse possible, ou encore un lieu où la techouva devient impossible
Je ne m'attends pas non plus à un rapport "évident". Entre "na'hash" et "ne'hoshet", serpent et cuivre, par exemple, est-ce évident? Pourtant, rapport il y a...
Je me permets donc de vous reposer la question, en vous remerciant par ailleurs pour vos réponses si rapides
Il me semble que la mort est précisément ce « lieu » où tout n’est plus que question, sans réponse possible, de même que la techouva y devient impossible (Voir Avoth 2, 10).
Rabban Yochanan ben Zakkai avait cinq élèves : Rabbi Eliezer ben Hyrkanos, Rabbi Yehoshua ben Hananya, Rabbi Yossi le Cohen, Rabbi Shimon ben Netanel, et Rabbi Elazar ben Arah."
Nous avons, semble-t-il, comme il arrive fréquemment, un problème de numération des Michnayoth. Je faisais allusion à celle où il est écrit : « Rabbi Eliézèr a enseigné : […] Repens-toi un jour avant ta mort… »
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