Je cite:
Citation:
Merci pour la réponse (comme d'habitude).
Avec plaisir (comme d'habitude).
Citation:
Je me permet d'ajouter (car je suis étonné que vous ne l'ayez pas cité, tellement vous l'appréciez) ce que Rav Reouven Margaliot dit sur le sujet.
Je dois préciser 4 choses:
1) comment voulez-vous que je me souvienne de tout à chaque instant? j'ai le droit de ne pas me souvenir d'un commentaire, non?
2) pourtant, il se trouve que je me souvenais de celui-ci au moment où j'écrivais :) car je l'avais rencontré peu avant.
3) toutefois, le but n'est pas de "tout citer", mais de répondre à la question.
4) néanmoins, j'avoue que dans une situation similaire j'aurais tout à fait pu le citer :)
Ceci étant dit, je suppose que vous avez lu ce commentaire de
Rav Margulies dans sa
Hagada Beèr Myriam?
C'est en page 27 de la nouvelle édition (Jérusalem 2004).
Il indique qu'il a déjà écrit ça dans ses
Milouim sur Nefesh 'Haya, sans en indiquer le Siman
(même dans la nouvelle édition, ils n'ont pas ajouté la référence!), c'est dans les
Milouim Siman 51, 7.
Mais il se trouve que
Rav Margulies donne une autre explication pour justifier ceux qui débutent le passouk aux mots "Vayehi Erev"
(=on peut dire que terminer un bout de passouk est licite, mais on peut aussi dire) : En Israël, à l'époque où ils lisaient la Torah en trois ans, ils coupaient ce verset autrement et les mots Vayehi Erev étaient un début de Passouk.
Voyez
Nefesh 'Haya (§271, 10).
Ailleurs encore, dans
Nefesh 'Haya (§51, 7), vous trouverez d'autres explications, selon lesquelles l'interdit de couper un verset autrement que Moshé ne concernerait qu'une lecture publique, ou encore qu'il est autorisé de l'interrompre là où il y a un Etna'hta etc. (-j'y ai fait allusion dans mon premier message).
Bref, il y a encore beaucoup de choses à dire au nom de
Rav Margulies sur ce sujet, comme sur beaucoup d'autres sujets, n'allez pas imaginer qu'à chaque fois que je ne le cite pas, c'est qu'il n'aurait rien dit sur ce point, loin de là.
Mais c'est plutôt (généralement) que je n'ai pas estimé nécessaire de le citer, ou que je n'en avais pas le temps, ou que je l'avais oublié, ou que je ne l'ai jamais lu et l'ignore!
Citation:
Merci infiniment de nous avoir fait découvrir ce rav.
Franchement, il y a de quoi se réjouir de savoir qu'il a existé, lire ses Sfarim est un plaisir exceptionnel. Je l'ai dit maintes fois à son fils (adoptif) avec qui je suis en contact depuis plus de dix ans et je suis content de constater qu'il s'est occupé durant ces dernières années de faire imprimer les écrits du Rav.
Il y a encore beaucoup à faire.
Rav Rozenberg za"l dont c'est le Yohrzeit aujourd'hui aimait énormément ce
Rav Margulies qui était son voisin à Tel Aviv lorsqu'il était jeune.
Il m'a dit qu'il cherchait toujours à acheter les Sfarim de Rav Margulies et qu'il en était même "collectionneur"
[ce qui me fait penser et rappeler qu'il y a ce soir un Siyoum et une hakhnassat Sefer Torah Léilouy Nishmat Rav Rozenberg, justement au "Collectionneur"!].
J'ai eu le privilège de lui offrir quelques titres rares ou inédits de Rav Margulies, certains que j'ai pu obtenir via son fils et d'autres en cherchant chez des brocanteurs de Sfarim aux USA.
De nos jours, c'est facile, car ces Sfarim sont scannés et disponibles sur Hebrewbooks ou Otsar hahokhma, mais ce n'était pas le cas il y a quelques 10 ou 15 ans.